Association Loisirs et Culture

Compte-rendu des sorties 2013

« PAUSE REPARATRICE… »

« DECOUVERTE DU MARAIS VERNIER ».

Le temps était splendide ce dimanche 7 juillet lorsque les randonneurs de l’asso. « Marche, Plaisir, Découverte » regroupés près de l’église de Bouquelon prirent le départ pour une randonnée de 24 km en cette petite région insolite appelée « le marais Vernier » née d’un méandre que la Seine a abandonné suite aux bouleversements géologiques et climatiques de l’inter - action entre le fleuve et la mer.

En début de parcours, les trois sentiers parfaitement ombragés, bordés de houx et de châtaigniers, dévalant vers le marais, tout près du lieu-dit « de la Cour », furent vite descendus. Au travers de trouées naturelles dans la végétation touffue, les marcheurs découvrirent l’immensité du site et la diversité paysagère offerte par les courtils tous orientés vers « la croix divise » point central du marais.

Avant de s’y engager, le petit groupe suivit le chemin « du Roy » qui longe le bas du coteau et passe tout près des traditionnelles chaumières implantées en parallèle à la pente, certaines possédant toujours « le cafoutin », cave demie enterrée servant de remise fraîche aux fruits et légumes.

Par la suite les marcheurs empruntèrent la chaussée « Violette » et suivirent le fossé « Ceinture » pour rejoindre la fameuse digue « des Hollandais » construite sous le règne de Henri IV.

En ces lieux magiques, la tourbe absorbe tous les bruits ; ici, règne un silence absolu parfois interrompu par le vol lourd d’une cigogne de passage, ou le coassement des grenouilles et crapauds qui ont colonisé cette nature vierge encore de toute pollution.
A la hauteur du « bout aval », un sentier de chèvre remontant vers le plateau attendait les randonneurs, et malgré sa forte pente et son mauvais état il fut vite escaladé.

Empruntant une petite route qui aboutit au phare de St Samson de la Roque, le groupe découvrit un nouveau panorama en vue plongeante sur l’estuaire et le confluent de la Risle.

Après cette courte halte qui permit à chacun de souffler un peu et de saisir quelques photos souvenirs, on rejoignit le parc du «  manoir du Castel «  où les propriétaires très aimablement reçurent les marcheurs le temps d’un encas réparateur et d’une baignade rafraîchissante pour certains.

La reprise de la marche de l’après-midi assez difficile après ce long moment de convivialité permit d’apprécier les charmes du chemin forestier de « la Goulette » qui fut suivi jusque Bouquelon.

C’est bien fatigué mais ravis de leur belle journée que les marcheurs ont pris rendez-vous pour une prochaine randonnée programmée le 21 juillet autour des Petites Dalles…

« photo devant le colombier de la Bouteillerie »

« Entre forêt de MONTGEON et parc de ROUELLES ».

En ce début de dimanche 23 juin 2013 maussade et humide, une petite dizaine de fidèles adhérents randonneurs de l’asso. « Marche, Plaisir, Découverte » sont partis pour une balade de 18 km en forêt de Montgeon et vallée de la rivière de Fontaine, plus précisément par les sentiers du parc de Rouelles.

Le départ fut donné depuis le bel étang artificiel du bois de Montgeon où parfois les jours de beau temps des bateaux téléguidés voguent sur cette étendue d’eau sans ride.

Tout en longeant le parcours sportif à la rencontre des joggeurs havrais matinaux, les marcheurs rejoignirent la rivière de Fontaine après avoir coupé par le souterrain la nouvelle rocade sillonnée malgré l’heure matinale par des automobilistes de plus en plus pressés. Le chemin du vieux moulin puis celui de la côte du mont FINANT furent très appréciés des randonneurs pour le calme et les ombrages animés par une multitude d’oiseaux siffleurs qui célébraient le soleil revenu.

Midi sonnait déjà au clocher de la petite église de Rouelles, et il fallut rejoindre le centre du village et le café tabac où attendait Paule pour un déjeuner tiré du sac au sec dans une gentille petite salle aimablement et spécialement ouverte aux randonneurs.

L’après-midi, les marcheurs reprirent leur marche par le parc de Rouelles et apprécièrent les étangs et leurs habitants palmipèdes aux couleurs chatoyantes. Là, se côtoient les canards Colvert mais aussi les oies Bernache avec petits, et autres poules d’eau.

Les randonneurs, maintenant sous le soleil timide de juin, traversèrent la route de Montivilliers par la passerelle, non sans avoir admiré et pris des photos du très beau colombier en silex noir de la Bouteillerie datant de 1631.

Ils gravirent la côte de la justice tout en sous-bois, puis traversèrent la plaine de la Coudraie avant de redescendre vers  la vallée de la Lézarde et l’hôpital Jacques Monot.

Un point de vue sur Harfleur et son église au clocher de dentelle s’offrit aux marcheurs sur fond d’usines pétrochimiques si proches…
De retour dans le parc de la Bouteillerie, chacun put apprécier encore une fois ce beau coin de verdure et de calme, qui est avec la forêt de Montgeon le poumon de la ville portuaire du Havre, lieu  de promenade dominicale de tous les havrais.

Le sentier qui conduit au château de Montgeon et qui longe le parc de jeux et le manège de chevaux permit de rejoindre Rouelles et les sous-bois de Montgeon , point final de cette belle journée ma fois…sans pluie….

9 juin

« RANDO entre SEINE et EURE avec M.P.D. ».

Dimanche 26 mai 2013, jour de fête des mères, un petit nombre de randonneurs a répondu à l’invitation de l’asso. « Marche, Plaisir, Découverte » qui avait programmée une marche d’environ 18 km autour du village de POSES.

Arrivés sur place, et intrigués par le fracas et le bouillonnement des eaux, les randonneurs  s’engagèrent sur l’étroite passerelle qui surplombe le barrage de POSES pour rejoindre les écluses d’Anfreville sous les monts dominées par l’abrupte côte « des deux amants ».

A Poses, le petit groupe s’engagea sur l’ancien chemin de halage si pratiqué autrefois par les mariniers et les attelages qui tiraient les  chalands  remontant vers Rouen.

Tout le long du parcours maintenant devenu très pittoresque, avec cette rive parfaitement entretenue et surtout très fleurie, passant de propriétés en propriétés, les marcheurs apprécièrent ce site enchanteur si souvent mis en peinture par les artistes attirés par la beauté et le calme des lieux où les îles et le reflet des falaises de la rive opposée se mêlent aux eaux calmes du fleuve.

Le déjeuner pris en bordure de la Seine sous un très beau soleil permit aux randonneurs de reprendre des forces.

Ils longèrent le lac de « la grande Noé » paradis des cormorans géants et prirent le chemin de halage qui longe l’Eure sur laquelle jadis on transportait les vins « Drouais » vers Rouen.

En fin de balade, le lac des deux amants fut rejoint et chacun put admirer le balai effectué par les skieurs nautiques et les nombreux petits voiliers aux gréements multicolores.

Cette journée se termina par une cueillette de fleurs printanières sauvages avant le retour vers St Wandrille.

« SUR LES FALAISES DE LA CÔTE D’ALBÂTRE»

« RANDO. SUR LE DOMAINE DES ARTISTES ».

Dimanche 12 mai 2013, tôt le matin, le temps déjà superbe invita les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » à prendre le départ depuis la plage de Quiberville pour une journée de marche d’environ 18 km.

L’objectif de cette journée était la découverte des typiques paysages marins de la côte d’albâtre et ceux de la large et verte vallée de la Saâne.

Le groupe d’amis commença par se dérouiller les jambes en empruntant la très longue digue côtière avant de remonter le large chemin herbeux bordé de gras pâturages qui mène au centre du petit village de Sainte Marguerite.

De là, une magnifique vue sur l’enfilade des falaises, portant jusqu’aux jetées de St Valery, s’offrit au regard émerveillés des marcheurs. « Joli cadeau après l’effort !! ». Le phare d’Ailly fut rejoint après le gravissement d’une nouvelle montée au travers du bois du même nom.
Par temps  clair, les navires qui croisent au large peuvent apercevoir ses feux à une distance de 80 km.

Au travers de magnifiques parcs, de jardins et villas, les randonneurs ravis de ce parcours bucolique et enchanteur, rejoignirent les deux profondes gorges de Vasterival qui donne accès au rivage et aux plages de galets typiques de la côte d’albâtre.

En fin de matinée, l’église romane de Varengeville juchée sur la pointe de la falaise, d’ailleurs menacée d’éboulement, fut rejointe. Cette petite église de pierres blanches est toujours entourée de son charmant petit cimetière marin qui fait l’admiration des artistes au point que certains ont tenu à s’y faire enterrer.

Ce lieu exceptionnel, mer, cimetière, falaises, église, impressionna les marcheurs qui s’attardèrent assez longuement dans ce lieu de silence et de beauté.

Il fallut maintenant traverser le bois des Moutiers qui à cette époque est tapissé de jacinthes sauvages pour rejoindre le centre du village très animé en ce jour dominical par un marché du terroir.

Pour une fois, les sacs ne s’ouvrirent pas pour le déjeuner. Profitant de cette aubaine, chacun pu déguster gratuitement les brochettes de coquilles saint jacques et de poissons grillés si aimablement offertes pour l’occasion. Ce long moment de détente imprévu à l’ambiance des plus chaleureuse, sous un soleil radieux  requinqua chacun et permit de reprendre la route vers le cours de la Saâne qui coule jusqu’à la mer.

En fin de journée, le pot de l’amitié servi à St Wandrille permit à tous de remercier les organisateurs pour cette excellente journée de marche découverte et de prendre rendez-vous pour une nouvelle sortie programmée le 26 mai, en direction  de « Poses et Anfreville sur les monts ».

« PHOTO EN BORDURE DE LA RISLE »

« ENTRE RISLE ET BEC ».

Ce dimanche 21 avril 2013, la ville de Brionne était encore endormie et enveloppée de brume quand  les quatorze randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte »  prirent le départ devant la maison du tourisme, pour effectuer une longue marche d’environ 24 km.
En début de parcours, il fallut monter jusqu’au donjon carré qui domine la ville. Cet édifice  de forme carré du 11 ième siècle est un spécimen assez rare en Normandie par sa forme.

La brume se levant laissa apparaître un large panorama plongeant sur la cité et la large vallée verdoyante de la Risle ici parsemée de nombreux étangs, paradis des pêcheurs et des oiseaux.

Après être passé devant l’entrée de la champignonnière, grotte naturelle de 2 km de galerie, les marcheurs attaquèrent une sente très pentue qui les emmena dans le sombre bois « MAL » où la densité et la majesté des épicéas fait penser à un massif vosgien.

A la sortie du bois, au fond de la vallée, le groupe suivit un vallon boisé parcouru par la petite rivière du Bec.
Cette belle vallée abrite la célèbre abbaye du Bec Helloin dont l’école rayonna jadis sur toute l’Europe.
Encore un petit effort, et la ville du Bec fut traversée. Au passage chacun put admirer les façades des demeures très typées qui ont su garder leur authenticité.

Une longue côte attendait les randonneurs pour rejoindre le hameau de « L’Aventure » puis une descente à travers la forêt permit de rejoindre le village de Pont Authou où le repas fut pris au bord de la Risle.

Ce moment délicieux fit profiter chacun d’une longue pause très ensoleillée les pieds dans l’eau…

Le parcours de l’après-midi très vallonné presque entièrement forestier mena les marcheurs vers Brionne en suivant la crête des collines qui longent les superbes vallées de la Risle et de l’Authou.

En fin de journée, les pieds devenus sensibles pour certains, et la fatigue se faisant sentir pour les autres, ralentirent un peu la marche qui se termina vers 18 heures, toujours dans la bonne humeur.

Le pot de l’amitié servi à St Wandrille permit à tous de faire quelques commentaires sur la journée, et de prendre rendez-vous pour la prochaine sortie du 12 mai 2013, direction Varengeville -sur-mer…

« A LA FONTAINE DU VIVIER »

« ENTRE  LA CERLANGUE ET TANCARVILLE ».

« Encore une randonnée bien agréable !... »
Partis de bon matin du village de la Cerlangue, qui tire son nom d’une certaine fougère « Langue de cerf », les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » en ce dimanche 7 avril 2013 s’engagèrent sur un chemin de terre blanchi par les gelées du petit matin. Il ne faisait pas bien chaud, et les doigts étaient déjà engourdis malgré les gants. Malheur à celui qui les avait oubliés !...
Le groupe rejoignit les bois des Guillebourdières et descendit le fond du vallon par un sentier raviné par les pluies, très caillouteux, où il était impératif de bien poser ses pieds pour ne pas chuter…
La nature encore endormie sous cet hiver qui s’accroche, laisse malgré tout poindre quelques petites fleurs en boutons qui ne demandent qu’à s’épanouir en tapis multicolores sur les pentes escarpées du vallon.
Les marcheurs descendirent le val Eglantier par un large chemin très bourbeux fraîchement remblayé avec une terre glaise de teinte  rouge qui  colle aux semelles. Les rayons du soleil accueillirent le groupe à l’approche de la fontaine du four des viviers. Ce lieu de sources bruissantes sous les mousses et le cresson semble un hâvre de paix pour les oiseaux qui y séjournent tout l’hiver.
Il fallut longer ce marécage où poussent les iris sauvages pour atteindre Tancarville- le- bas, et le café « du petit pont » lieu du pique-nique tiré du sac.
Après cette pause bien méritée, les randonneurs prirent le chemin du château de Tancarville qui domine la Seine.
Situé sur un ancien oppidum gallo-romain ce château du XIIème et XVIIIème siècle eut ses heures de gloire au temps de la guerre de cent ans. Il commandait jadis l’estuaire de la Seine quand celle-ci venait lécher le pied de la falaise sous le château. Ce passé glorieux est bien mis à mal aujourd’hui, car après pas mal de vicicitudes , il est de nouveau en vente.
Les marcheurs passèrent près du beau château de Drumare et son colombier cylindrique de briques et de silex, puis empruntèrent le sentier du GR2 qui longe les bois de la côte de Seine. Ils purent admirer toute la vallée au travers des arbres encore dépourvus de feuillage.
Il était temps de retrouver La Cerlangue et les véhicules qui attendaient sagement depuis le matin.
Le pot de l’amitié a été servi sur l’aire de pique-nique de Tancarville-le-bas sous un soleil bien présent tout au long de cette belle journée.

« En forêt Wandrégésilienne »

« Balade au carrefour des trois vallées ».

Dimanche 24 mars 2013, les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » sous la houlette de Philippe, sont partis de bon matin pour une randonnée d’environ 18 km en deux boucles, à la découverte des trois vallées
(la Seine, la Fontenelle, et la Rançon).
C’est sur la Fontenelle que les moines bâtirent leur célèbre abbaye, si fréquentée aujourd’hui par les pèlerins désireux de se ressourcer et de jouir un moment de la quiétude des lieux.
Les marcheurs quittèrent le centre du bourg par  le chemin de « la Coutume » et longèrent sur plusieurs Kilomètres la vallée de la Seine qu’ils purent observer par endroits au travers des arbres encore dépourvus de feuillage.
Ils traversèrent le bois «du Broche Baillif» et empruntèrent une partie du Gr 2 qui longe cette belle forêt de hêtres encore décharnés en ce début de printemps.
Plus loin, en ressortant de la forêt, Ils découvrirent au lieu-dit  «le genétay » la vieille grange « aux dîmes » et le pittoresque manoir d’Abbeville, anciennes propriétés de la communauté bénédictine.
En suivant la ligne de crête qui surplombe la vallée de la Fontenelle, les randonneurs aperçurent au loin le site de l’ancienne chapelle de «Caillouville » qui accueillait jadis de nombreux pèlerins qui y venaient  chercher la guérison en se baignant dans la piscine aux eaux miraculeuses.
C’est toujours en suivant le GR 2 que les marcheurs, maintenant avec la faim au ventre, revinrent sur le centre ville par le clos Bosquet. Ils rejoignirent la salle communale de la « Caillouville » où le déjeuner tiré du sac requinqua chacun.
En début d’après-midi, le groupe prit le chemin du bois saint Jacques qui domine la belle vallée de la Rançon. Avant de bifurquer vers la grande ferme de la Mare, les marcheurs prirent plaisir à observer la petite église du
XIème siècle comme posée sur la rivière du même nom au beau milieu de la vallée embrumée.
Le retour vers l’abbaye permit une halte pour contempler la petite chapelle du Xème siècle dédiée à
« St SATURNIN », fort bien entretenue au demeurant.
Les marcheurs, un peu fatigués,  rejoignirent la salle de la Caillouville pour le traditionnel pot de l’amitié.
La chaleur ambiante de la salle leur fit oublier la saine fatigue de cette journée  partagée ensemble.

« M.P.D. en capitale des CALETES »

« A l’ombre des hêtres centenaires »

En ce dimanche blafard du 10 mars 2013, les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » s’engagèrent au départ » des étangs Legendre » de Notre Dame de Gravenchon sur les sentiers et chemins des Textiles qui mènent à Lillebonne, ville au riche passé.
 La douzaine de marcheurs fidèles traversèrent la superbe allée centrale du bois du parc aux essences variées, puis, après une petite « grimpette » par un chemin de terre boueux, traversèrent le bois d’Harcourt par le sentier
de « la côte sous forêt » qui surplombe la vallée de Seine et les usines pétrochimiques.
Au détour d’un chemin ils rencontrèrent quelques vététistes crottés qui dévalaient les pentes, glissant dans la boue et sur les racines des arbres enchevêtrés. Le groupe s’écarta pour  admirer et encourager les téméraires cyclistes qui passèrent en trombe devant eux, non sans effectuer quelques glissades…
Déjà Lillebonne et sa superbe église Notre Dame du XVIème siècle se profilait au bout du GR2 et quelques explications historiques furent données par notre guide Daniel sur cette vieille JULIOBONA capitale des Calètes, peuple gaulois à l’origine du nom de notre belle région : Le pays de Caux.
Juliobona eut un temps de grande prospérité aux alentours du IIIème siècle liée à la présence d’un port sur la Seine. Quelques vestiges en témoignent encore, tel ce bel amphithéâtre en cours de rénovation qui fait la fierté de tous les lillebonnais.
Les randonneurs passèrent par le jardin public et longèrent l’ancien château  du XIème S. résidence préférée de Guillaume le conquérant, puis s’engagèrent dans les chemins de la côte blanche et St Denis qui surplombent la vallée si riche jadis en usines et ateliers du textile qui contribuèrent à la richesse et à la prospérité de la ville.
Le repas sorti des sacs fut pris au chaud, dans une salle communale aimablement prêtée de La Frenaye, et chacun reprit des forces pour le chemin du retour de l’après-midi.
Un vent froid accompagna les marcheurs tout au long de leur chemin du retour, ce qui les obligea à allonger le pas. La côte de Freneuse et la plaine d’Amertot furent vivement traversées, et le GR2 qui descend vers les étangs et la fontaine St Denis fut très apprécié pour l’abri de ses arbres, même encore démunis de feuillage.
Le pot de l’amitié, bien mérité, attendait les randonneurs dans la salle de la Frenaye.

«M.P.D sous la neige entre Seine et campagne »

« paysage blanc »

Dimanche 24 février, sous de gros flocons de neige, et par une température hivernale, un petit groupe de 10 randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » ont répondu à l’invitation de Philippe qui proposait le temps d’un après-midi une marche de 12 km autour du village de St Arnoult.
Tous chaudement équipés, les randonneurs passant devant l’église du village apprirent que son saint patron
« St Onuphre » fut, en son temps, très connu et apprécié de la population cauchoise pour ses pouvoirs
 qui apaisaient les douleurs et les rhumatismes.
 Le parcours parfaitement balisé, aux paysages harmonieux, permit de rejoindre les hauteurs de Caudebec en traversant la forêt de Maulévrier et en suivant le sentier de « La Gribane » qui surplombe la Seine.
Déjà il fallait redescendre vers Caudebec en passant par les chapelles de « Barre-y-va ».
En ces lieux autrefois, bon nombre de pilotes de Seine y faisaient une halte avant « l’embarque de Villequier ».
Profitant d’un bref rayon de soleil, les sacs s’ouvrirent pour le partage d’une chaude collation bien méritée.
Reprenant la route, il fallut passer derrière le château de la Martinière, et devant l’imposante et mystérieuse « pierre tournante » avant de remonter par un large chemin accompagné par la tempête de neige qui ne lâcha pas les marcheurs jusqu’à St Arnoult…
Cette courte randonnée hivernale effectuée dans la bonne humeur permit de se mettre en jambes pour les prochaines journées de rando, et également faire plus ample connaissance en n’oubliant pas de prendre rendez-vous pour la prochaine sortie »sur les chemins des textiles ».

« En vallée de l’Ambion et de la Gertrude »

« A l’abri de l’église de sainte Gertrude »

C’est par un dimanche après-midi maussade et pluvieux que les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » se retrouvèrent le 10 février 2013 sur la place principale de Caudebec en Caux pour une marche de 11 km en vallée de l’Ambion et de la Gertrude.

Les vingt-cinq marcheurs se regroupèrent et se harnachèrent pour la pluie à l’abri des hâlettes, et après un court « briefing » de Philippe, guide du jour, le départ de la ballade fut donné, et chacun s’engagea dans l’étroit escalier qui gravit le mont « Calidu ».

Le groupe soufflait déjà quand il longea « l’oppidum » vestige du premier village gaulois à l’origine de l’actuelle ville de Caudebec. Ils empruntèrent le chemin qui longe la maison forestière de la Pommeraye et s’engagèrent sur le chemin du même nom bien boueux en ce moment.

sentier, assez large qui domine la vallée, permet, grâce à l’absence de feuillage sur les arbres, d’avoir une vue plongeante sur la belle vallée de l’Ambion et de la Gertrude, rivières qui se jettent dans la Seine à CAUDEBEC.

Toujours sous une pluie fine glacée, les marcheurs descendirent par le val des charrettes, et après avoir traversé la Gertrude par le petit pont du vieux moulin en ruines firent une courte halte à l’église le temps d’une photo de groupe.

Un petit café bien revigorant fut vite absorbé sous un abri au toit plastifié de la pépinière, et les randonneurs baissant la tête reprirent la route goudronnée vers la D131 et le chemin du val aux Meilles.

Cette fois, les marcheurs virent la vallée du côté opposé, sous les flocons de neige fondue qui virevoltaient autour d’eux comme autant d’insectes attirés par la luminosité d’une lampe électrique.

Déjà les premières maisons de la ville émergeaient de la brume tombante et c’est par la sente pentue de la Vignette que le groupe frigorifié mais heureux de son après-midi rejoignit l’église Notre Dame et le point de départ.

Les Marcheurs, pour certains, rejoignirent la salle de la Caillouville pour le pot de l’amitié où furent donnés les coordonnées de la prochaine rando du 24 février 2013 avant que chacun ne se sépare à regret.

« devant le château de Triquerville »

« Marche en vallée du TELHUET »

Pour cette deuxième sortie 2013, les randonneurs de l’A.L.C. de St WANDRILLE- RANÇON – « Marche, Plaisir, Découverte » se retrouvaient ce dimanche 27 janvier 2013 pour une marche de 11 km  à la découverte de la verdoyante vallée du TELHUET, écrin de couleur et de nature, et de ses bois environnants.

Les marcheurs se regroupèrent une bonne vingtaine au rendez-vous place d’ISNY à N.D. de GRAVENCHON vers 13h15. Le départ de la ballade fut donné sur le parvis de l’église Notre Dame par Daniel l’organisateur du jour.

Les randonneurs sortirent de la ville par le quartier du Val Ravenot , s’engagèrent dans le chemin de la côte de Carmont à travers des bois aux arbres encore bien nus en cette saison. Le soleil qui les accompagnait laissait prévoir une belle après-midi de marche. Le groupe, qui s’étirait, rejoignit le très beau château de Triquerville et sa superbe allée de hêtres centenaires. Les marcheurs admirèrent la belle perspective sur la demeure du 19ième siècle et se resserrèrent le temps d’une photo de groupe pour immortaliser cette belle après-midi. Ils reprirent la route vers l’ancienne forge, où les accompagna un vent fort qui les glaça et leur fit courber l’échine.

Un petit goûter fut englouti à l’abri d’une grange, et chacun reprit le sentier de la côte aux Pigeons pour rejoindre le Haut de Gravenchon et le quartier du Beau Regard. A cet endroit une superbe vue plongeante sur la cité du pétrole s’ouvrait à leurs yeux. Les marcheurs traversèrent le mont Lardier, descendirent la route du Val, puis remontèrent le Gr2 qui serpente en lisière du bois du Parc. Après la descente vers les étangs « Legendre »  paradis des canards et autres sarcelles, ils entrèrent dans la magnifique vallée du TELHUET, déjà le soleil disparaissait au dessus des raffineries et du pont de Tancarville.

En suivant ce petit cours d’eau rapide qui serpente dans la verdure, les randonneurs purent remarquer les deux parties du parc : d’un côté les herbages plantés de toutes sortes de pommiers,  et en contre bas vers le Télhuet, la partie marécageuse où poussent toutes sortes de plantes aquatiques et les ajoncs, paradis des insectes et des oiseaux aux multiples couleurs, où paissent des bœufs d’Ecosse si sympathiques et efficaces. L’église « Notre Dame » comme posée au centre de ce havre de verdure et de paix apparut aux marcheurs, Émerveillés par la symétrie parfaite de l’allée ouest  qui introduit les nouveaux mariés au cœur de l’édifice religieux.

Après cette très belle après-midi passée dans la nature, les coordonnées de la prochaine RANDO. furent communiquées et rendez-vous pris pour le 10 février 2013 avant que chacun ne se sépare à regret.

« A l’ombre du chêne d’Allouville-bellefosse »

1ère Rando 2013 pour M.P.D. »

Après le traditionnel échange de vœux, une vingtaine de randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte », regroupés sur la place de la mairie d’Allouville-bellefosse ont pris le départ pour une après-midi de marche d’environ 12 km le dimanche 13 janvier 2013.

Se référant au balisage du GR 211, le groupe quitta le village, rendu célèbre par son chêne millénaire, par une ancienne route charretière toujours bordée de gigantesques hêtres centenaires pour rejoindre la lisière de la forêt de Maulévrier.

Ce sombre massif forestier pentu, qui ressemble comme deux gouttes d’eau à un massif vosgien, invita les marcheurs à le dévaler en empruntant un étroit raidillon caillouteux rendu très glissant par les récentes pluies. Son état ne facilita pas la progression, occasionnant quelques chutes sans gravité avant de rejoindre le charmant « Val de Card  ».

Plus loin, près du lieu dit « L’Ouraille », les randonneurs remontèrent sur le plateau Cauchois et traversèrent le hameau de « Bosc à Bosc » avant d’arriver à Bois-Himont.

Derrière le château, bien abrité du vent d’est, le groupe reprit des forces et fut bien heureux dès que le clocher de l’église d’Allouville apparut au-dessus des toits du village.

Avant que la nuit ne recouvre la campagne, les randonneurs rejoignirent St Wandrille et la salle de la Caillouville où leur fut servi la traditionnelle galette des rois. Ce moment très convivial permit de couronner quelques têtes amies et de s’informer de la prochaine sortie du 27 janvier.

 
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