Association Loisirs et Culture

de Saint Wandrille-Rançon

29-12-2012

 

Section : "Marche, Plaisir et Découverte"

Pour tous renseignements et inscription, contacter :
     Boullier Philippe     tel : 02 35 96 08 40
     Jourdain Daniel     tel : 02 35 38 19 09
     

Compte-rendu des sorties 2012

Rouen
« au palais de justice de ROUEN » 

 « ROUEN ET SES RUES D’ANTAN  »

Pour leur dernière sortie de l’année 2012,  les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » s’étaient donné rendez-vous en ce dimanche matin du 16 décembre  à l’embarcadère de Rouen.

Les gros nuages gonflés de pluie s’écartèrent dès leur arrivée sur les quais de Seine pour laisser place à un levé de soleil blafard digne d’une presque journée d’hiver.

Un groupe d’une bonne vingtaine d’adhérents prit la direction de la belle église de la Madeleine et de la maison familiale Flaubert et arriva bientôt  à la célèbre « place cauchoise » carrefour faisant la jonction entre l’entrée ouest et le sud de Rouen.

Les randonneurs empruntèrent la rue Cauchoise qui résonnait jadis au passage des lourds charrois tirés par des chevaux boulonnais amenant le poisson des ports cauchois de Dieppe et Fécamp au marché Rouennais.

La place du vieux marché fut l’occasion d’une première halte pour admirer les façades typiques aux boiseries multicolores, mais aussi de visiter et admirer la très belle église Jeanne d’Arc à la charpente en forme de coque de navire et ses vitraux magnifiques aux couleurs chatoyantes.
Les marcheurs s’attardèrent quelque peu devant le magnifique palais de justice qui fut l’objet de quelques explications de notre guide Philippe et bien sûr d’une incontournable photo de groupe.

La rue du « Gros Horloge », (seule horloge de genre masculin) toujours très passagère, et appréciée des touristes pour ses magasins réputés, livra, bien entendu, tous ses charmes, et offrit une perspective unique sur la cathédrale aux sept clochers qui trônent à son extrémité…

Le groupe traversa le marché de noël installé sur le parvis de la cathédrale accompagné par une odeur mélangée de vin chaud, de barbe à papa et autres confiseries.

Ils prirent par la rue St Romain  et l’archevêché puis la rue que les Chanoines empruntaient pour venir aux offices. La très belle église St Ouen fut l’occasion d’une visite, et poursuivant par les jardins, chacun put voir le très beau bâtiment qui abritait jadis  un couvent de religieuses maintenant réhabilité en hôtel de ville.

Les randonneurs descendirent la rue des antiquaires aux maisons et hôtels particuliers remarquables pour la plupart du 17 ième siècle, et pénétrèrent dans la cour de l’Aître St Maclou. Là les façades ornées de sculptures mortuaires (crânes et autres fémurs) confèrent toujours à l’endroit cette odeur de mort qui y rodait dans le passé. On se surprend à chuchoter tellement l’atmosphère y est lourde…

Il était temps de rejoindre Paule, pour le repas de fin d’année, qui nous attendait au « Bistroquet » près de l’église st Maclou.
Un bon repas fut pris dans la bonne humeur et les chansons pour clôturer cette année de marches bien rempli et appréciée de tous les participants.

La fin de l’après-midi fut consacrée somme toute à la flânerie et au shopping  dans les rues piétonnes avant le retour aux voitures, où chacun se souhaita de bonnes fêtes de fin d’année et encore de belles balades pour l’année prochaine…


« Devant une aubépine remarquable ! »

« LE CHEMIN DE LA BELLE EPINE »bourg achard

Les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » s’étaient donné rendez-vous en ce dimanche après-midi du 2 décembre 2012 devantlamairie de Bourg-Achard.

Un circuit d’environ 11 km devait emmener les 17 marcheurs qui avaient répondu « présent » sur « le chemin de la belle épine » en pays Roumois. Les chemins de plaine encore tous détrempés des pluies de la semaine s’ouvraient sur des terres fraîchement labourées où pour certaines ensemencées, des petites pousses de blé bien vertes pointaient déjà le bout de leur nez. Un soleil bien présent qui réchauffait l’atmosphère encore fraîche rendit cette balade très agréable et vivifiante.

Le groupe passa par le charmant village de « Bouquetôt » et devant le portail d’enceinte de son cimetière, une halte s’imposait pour admirer la vénérable aubépine qui garde ces lieux. Cet arbre si l’on peut dire, tant son tronc de 2,50 mètres de circonférence, et ses branches qui atteignent les 4 mètres sont impressionnants, en font un arbuste rare et exceptionnel de la région et de France. Cette aubépine fut plantée en 1360 sous le règne de Charles V pour marquer, paraît-il, le rattachement de la Normandie au royaume de France…

Cet épineux très présent dans nos haies normandes était très apprécié pour ses épines acérées qui repoussaient tout intrus, mais aussi pour ses petites baies rouges avec lesquelles on confectionnait des tisanes et décoctions calmantes qui facilitaient le sommeil.

Les marcheurs prirent la route vers le « Vieux Bouquetôt » puis » les chemins de St Michel » pour entrer dans les faubourgs de Bourg-Achard. Ils longèrent les bois du château du Fay et traversèrent le parc de jeux et son parcours sportif avant de revenir vers l’église St Lo et le parking de la mairie où attendaient les véhicules.

Le soleil était déjà très bas à l’horizon quand il fallut reprendre la route vers St Wandrille où Paule avait préparé le pot de l’amitié avec boissons chaudes et brioche.

Chacun se félicita d’avoir osé quitter la télévision et le coin du feu en ce début décembre et d’avoir profité de ce bel après-midi ensoleillé très vivifiant.


Jumièges
«Vue sur Jumièges embrumé
 !»

«LA BOUCLE DE JUMIEGES »

Pour cette 21ième marche de l’année, l’asso. « Marche, Plaisir, Découverte » en ce dimanche matin 18 novembre 2012, a emmené un  groupe d’une douzaine de randonneurs sur un parcours d’environ 22 km à la découverte de la boucle de Jumièges avec deux traversées de la Seine.

Le départ a été donné depuis le parking de l’abbaye, et le groupe se dirigea vers la cale du bac pour une première traversée de la Seine. La pluie, qui était tombée toute la nuit, avait cessé, ce qui rendit le chemin de bord de Seine surplombé par les plus hautes falaises de Normandie beaucoup plus agréable. Les marcheurs découvrirent quelques belles maisons et demeures, souvent habitées à la bonne saison, nichées entre falaise et bord de l’eau. Le chemin côtier se terminant en cul-de-sac, il fallut monter un chemin abrupt en sous bois pour rejoindre le superbe point de vue sur la boucle de Jumièges de Barneville. La brume encore présente en ce début de matinée ne permit pas de profiter pleinement du paysage.

Il fallut alors redescendre pour rejoindre la Seine à travers bois un chemin  tapissé de feuilles mortes aux teintes ocrées, sous une double haie d’arbres aux essences mélangées et aux couleurs bariolées. Le soleil qui  pointait timidement son nez au travers des nuages, amplifiait encore les couleurs automnales.

Il était l’heure du déjeuner, Paule attendait les randonneurs sous l’abris- bus de la mairie d’Yville-sur-Seine. Autour d’une table improvisée, chacun se restaura et reprit des forces pour le parcours de l’après-midi.

Il fallut retraverser le fleuve majestueux à la marée haute par le petit bac de Mesnil-sous-Jumièges. Les marcheurs passèrent près du manoir d’Agnès Sorel « la dame de Beauté «  puis prirent le chemin qui longe les terrains de Golf en sous bois de pins. Ils rejoignirent le GR2 (variante) et traversèrent le Val Portier. Déjà les deux majestueuses  tours de l’abbaye se profilaient au loin.
C’est en longeant le mur en pierres blanches d’enceinte de l’abbaye que tout le groupe rejoignit les voitures pour un retour sur St Wandrille pour un pot de l’amitié bien mérité encore une fois.


quilbeuf
«Perspective sur le pont de Tancarville ! »

«DECOUVRIR QUILLEBEUF !!  le 4 novembre 2012»

La pluie était encore une fois au départ de cette 19ème randonnée de  l’asso « Marche, Plaisir, Découverte » en ce dimanche matin 4 novembre 2012.

Un groupe d’une quinzaine d’irréductibles étaient au rendez-vous à Ste Opportune-la-mare, harnachés de pieds en capes pour un parcours d’environ 22 km en boucle qui devait les emmener jusqu’à Quillebeuf ,ancienne ville de pêche à l’embouchure de l’estuaire. Pendant que Ste Opportune se préparait pour la fête de la pomme, les marcheurs prirent le départ sous une pluie battante vers le lieu dit : La mare Bardin. Ils rejoignirent le sentier ombragé du » val Pigroult » puis le chemin Vert » glissant et très humide. En cette saison, la végétation est admirable pour tous ses tons de couleurs pastelles où une palette de jaunes prédomine entre les feuilles des arbres et les fougères vieillissantes.

Les bogues de châtaignes tombées ces jours derniers rendaient le cheminement bien mal aisé aux pieds des randonneurs.
Déjà la route de la falaise était rejointe, et les premières structures des raffineries de Port Jérôme apparaissaient  en arrière plan de la paisible Seine et des prairies bucoliques où passent encore quelques vaches normandes dites : « vaches à lunettes ».

La mairie de Quillebeuf fut rejointe par un long et droit chemin de terre qui traverse St Aubin-sur-Quillebeuf.
Là, Paule attendait le groupe qui devait diner dans une salle aimablement prêtée par la municipalité.

Un peu de chaleur et un repas tiré du sac pris au sec requinqua les randonneurs qui étaient prêts pour le chemin de retour. Une visite des petites rues anciennes de Quillebeuf s’imposait , et chacun s’intéressa aux commentaires de Philippe qui détailla chaque façade typique avec moulures en forme de cordages et autres  sculptures marines et animalières de ces maisons à colombages datant du 16ème siècle pour les plus anciennes..

Bien sûr, les marcheurs visitèrent la très belle église dédiée à « Notre-Dame-de-bon-port »  érigée en 932,
qui subit bien des transformations au fil du temps. Les parties les plus intéressantes datent du 12ème siècle avec un très beau portail, une nef à 5 travées et une tour centrale carrée à deux étages de l’époque romane.

De nombreux exvotos marins sont placardés sur les murs en remerciement de prières exaucées, et des maquettes de bateaux célèbres du siècle dernier, ayant un point commun avec la Seine et son estuaire, y sont exposées.
(tel le TELEMAQUE qui coula devant l’église de Quillebeuf le 3 janvier 1790).

 Le chemin du retour vers Ste Opportune se fit sous un petit soleil par la route des chaumières si agréable l’été, et c’est après avoir dépassé la Grand’mare (réserve Cynégétique réputée) que les randonneurs rejoignirent le centre ville encore très animé par un chemin abrupt en sous bois, ma fois, très agréable.


 aizier
« Une Cavée bien humide ! »

«RANDO SUR AIZIER le 21 octobre 2012»

Malgré la persistance d’une pluie diluvienne à ne pas mettre un pied dehors, un petit groupe de randonneurs de l’asso. « Marche, Plaisir, Découverte » avait répondu à l’appel de Philippe qui projetait de leur faire découvrir les panoramas et le charme des sentiers qui sillonnent le pittoresque méandre d’Aizier situé loin de toute vie trépidante.

Quittant Aizier par l’ancienne voie romaine, à travers bois, les marcheurs rejoignirent rapidement la vieille chapelle dédiée à St Thomas de Canterbury dès le XIIème siècle. Peut-être les religieux de Fécamp qui en avaient le patronage l’avaient-ils fondées pour les lépreux de leur baronnie d’Aizier ?

En effet, tout proche de là, subsistent les vestiges d’une léproserie et en son centre une mare dallée de silex par les gallo-romains. L’eau de cette mare avait des pouvoirs de guérison sur les fièvres malignes, comme « la surette », très fréquentes dans les marécages du bord de Seine.

Après de nombreux passages délicats, les chemins transformés en petites rivières donnèrent bien des difficultés aux randonneurs qui commençaient à avoir de l’eau dans les brodequins…

Ce fut l’heure de se restaurer et de se sécher à la petite auberge de Trouville-la-Haule où Paule attendait le groupe. L’après-midi, la pluie cessa, et la suite du parcours fut bien plus agréable comme par enchantement… Une succession d’étroites routes de campagne bordées de houx et de chemins forestiers tapissés de mousses confortables et profondes furent bien agréables aux pieds douloureux et échauffés des marcheurs.

Au bout du sentier, la terre s’arrête, le fleuve est là, avec ses eaux aussi brillantes que des débris de verre, déroulant un de ses plus beaux méandres où sont comme enchâssés Vieux port et Aizier.

L’abrupte sentier du Val-de-la-Haye permit de rejoindre le chemin en bordure de falaise qui longe la Seine.

Les feuillages se raréfiant en cet automne, dévoilèrent une vue magnifique sur le passage des grands navires de Seine, et la présence du grand phare du Courval contribua à l’évocation du grand large en pleine forêt…

Entre Vieux-Port et Aizier, le nouveau sentier en bord du fleuve fit passer au plus près de la source Bleue et des chaumières aux toits coiffés d’iris les randonneurs qui rentraient sur Aizier, contents de leur balade dominicale…


roumare
«  Départ pour la forêt »

« EN FORET DE ROUMARE »

Profitant de la magnifique journée du 7 octobre 2012, les randonneurs de l’asso. « Marche, Plaisir, Découverte » ont découvert au cours des 20 km parcourus les sentiers ombragés de cette immense forêt de Roumare, poumon de l’agglomération rouennaise, ceinturée par le plus grand méandre de la Seine.

Tôt le matin, le départ fut donné depuis le parc animalier, les marcheurs prirent la direction du Val Adam et rejoignirent le chemin forestier qui, en lisière des bois, laisse apparaître les blanches et hautes falaises qui délimitent la rive opposée du fleuve jusqu’au château dit « du Corset Rouge ».
Pour rejoindre Hautôt sur Seine, il fallut traverser durant un long moment de nombreuses châtaigneraies et de hautes fûtaies de pins qui suivaient avec précision le tracé du parcours qu’avec parfois bien du mal, les randonneurs suivaient grâce aux repérages numérotés des parcelles boisées.

Au détour du chemin, quittant la forêt, les premières habitations du bourg, et le vieux moulin à vent du Temple sont apparus quand midi sonnait au clocher de l’église.

Il était temps d’accélérer le pas pour rejoindre une des dépendances du château où la table dressée par Paule attendait le groupe pour un léger repas réparateur. En début d’après-midi, à la hauteur de la chapelle du château, Philippe notre guide du jour rappela que le curé d’Hautôt jusqu’à la Révolution française avait le droit de marier les jeunes gens sans le consentement des parents…

Les marcheurs quittèrent Hautôt en remontant le mont Miré et en longeant les bois de la Commanderie. Ils firent halte devant la grange dîmière propriété de l’ancienne commanderie des templiers. Philippe donna quelques infos sur les activités et le rayonnement de cet ordre si puissant au moyen-âge…

Le chemin qui se transforma en rues traversant le long du val de la Haye, permit de reconnaître les anciennes maisons de pêcheurs, de tisserands et aussi les anciens lieux de villégiature des riches négociants rouennais. Ici on venait se baigner, danser et se restaurer dans les guinguettes. Le personnage le plus important du village était :   Le Fleuve.

Au bout de la rue il fallut grimper le long raidillon de « La Cavée » pour rejoindre le sentier qui, suivant le relief de la falaise, permet de découvrir les installations portuaires qui chargent les céréales dans le ventre de ces gros navires qui redescendent la Seine tout au long des ses méandres si chers à notre cœur de cauchois…

Le pot de l’amitié, servi à Canteleu Chez Jean Marie, fut le bienvenu et permit à chacun de parler de cette encore belle journée passée ensemble…


jobourg
«au sémaphore de la Hague»

«VISITE DU CAP DE LA HAGUE».

« Marche, plaisir, Découverte » s’offrait ce Week-End du 22 et 23 septembre 2012 une visite du nez de JOBOURG et de la région de la Hague à l’extrémité de la presqu’île du Cotentin.

Cosqueville lieu de l’hébergement, relié dès le samedi après-midi par un groupe d’une vingtaine de marcheurs, est une charmante petite ville  qui se blottie dans la verdoyante vallée de la Saire .

Les randonneurs prirent pension « Au rayon de soleil » où les religieuses leur préparaient un délicieux souper dans une de leurs grandes salles de réception.

L’après-midi du samedi fut consacrée à une mini randonnée qui emmena le groupe à la découverte des rivages ventés de Cosqueville et des nombreuses petites maisons de pierres aux jardinets fleuris qui constituent tous les villages et hameaux du Cotentin
Une bonne nuit de repos, un petit déjeuner copieux, et les marcheurs prirent la direction du plus petit port de France « Port RACINE » d’où le départ devait être donné.

Chacun s’équipa pour la pluie, car dans la nuit, le mauvais temps annoncé par la météo. s’était installé sur la presqu’île avec des bourrasques de vent terribles…

Les randonneurs s’engagèrent sur le GR 223 « au petit port Racine » vers la Hague et le village de Goury, mais abandonnèrent l’idée d’aller visiter « le nez de Jobourg » aux sentiers rendus trop dangereux par les intemperies.

Les marcheurs en file indienne dans ce chemin  douanier ressemblaient à de grands oiseaux migrateurs emportés par les vents de nord-est qui s’engouffraient dans leurs capes et leurs cirés.

Bientôt le sémaphore et phare de la Hague furent rejoints, il était temps de prendre un petit café tiré des thermos pour se réchauffer à l’abri d’une haie d’arbres battus par les rafales de vent de plus en plus forts et de faire une photo du groupe.

Goury et son grand centre de sauvetage qui devait être la halte pour le déjeuner fut atteint , mais la marche se continua encore vers le village d’Auderville, où Paule attendait le groupe à «  l’hôtel restaurant de la Hague »

pour le déjeuner dans une petite salle à l’abri de la pluie. Après s’être restaurés et séchés tant bien que mal, les marcheurs reprirent la route du retour en empruntant un chemin en vallée qui jouxte « les jardins de Prévert ». Port Racine apparut au détour du chemin, avec ses embarcations ballottées au gré du vent qui s’était malgré tout calmé avec la marée montante.

Chacun se félicita de ce beau Week-End en Cotentin passé ensemble, malgré le mauvais temps qui n’augure pas un bel automne.


 

sortie annulée


st jouin
« Halte à St Jouin de Bruneval »

«LE LONG DES FALAISES CAUCHOISES ».

Ce dimanche 26 août 2012, par un temps magnifique, 14 randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » ont pris le départ du village côtier de St Jouin de Bruneval rendu célèbre par un fait d’arme lors de la seconde guerre mondiale. Le parcours concocté par Philippe les emmena  sur 22 km à la découverte des chemins du littoral cauchois, forgé et modelé au fil du temps par les assauts de la mer et des vents d’ouest .
Durant Ce début de parcours très accidenté de la matinée, il fallut s’adapter aux caprices du relief en descendant plusieurs fois au pied des anses de galets et bien sûr remonter vers le haut des falaises de craie.
Cette côte d’albâtre faisant le dos rond face à une mer bien moutonneuse permit aux marcheurs de découvrir le site des phares et les plages d’Antifer, véritables hâvres de paix…
Etretat, fleuron de cette côte qui oppose aux flots ses grandes murailles de craie offrit au groupe l’occasion de profiter d’un des plus beaux panoramas des côtes françaises.
Pour le déjeuner, l’accueil chaleureux d’un agriculteur permit de prendre un repas mérité à l’abri du vent marin et de reprendre des forces pour l’après-midi.
La forme revenue, les randonneurs prirent le chemin du retour en traversant quelques villages richement fleuris tel « le Tilleul » où chacun » put rendre la justice » assis sur ce fameux banc si cher au président René COTY lors de ses promenades dominicales…
Les marcheurs suivirent ensuite les sentiers ombragés en vallée et les chemins creux qui traversent les hameaux « du Canada et des Quatre fermes »
Encore quelques efforts à fournir pour traverser la plaine et ses chemins herbeux et le clocher de St Jouin apparut derrière un bouquet d’arbres pour le bonheur de tous.
Fort apprécié, le pot de l’amitié fut pris devant le belvédère du cap d’Antifer par un groupe fatigué mais enthousiasmé par cette belle journée au grand air marin.


varengeville
«SUR LES FALAISES DE CRAIE »

«VARENGEVILLE, TERRE DES ARTISTES »

En ce dimanche, exceptionnel pour son soleil ardent, du 22 juillet, un petit groupe de 16 randonneurs  de « Marche, Plaisir, Découverte » sont venus découvrir le pittoresque et le charme des sentiers qui gravitent autour du magnifique village de Varengeville , connu pour ses lumières, ses ciels changeants, ses jardins et ses hautes falaises qui semblent contenir la  mer.

Il fut en un temps, pas très éloigné, ces lieux furent fréquentés par des artistes peintres venus rechercher les couleurs changeantes et la tranquillité des lieux. On peut retrouver en son cimetière marin, le seul de Normandie, la sépulture du grand Georges braque…

Depuis la digue de Quiberville, les marcheurs suivirent le rivage déjà animé par la vente de la pêche de la nuit, et l’arrivée des premiers estivants venus profiter de la fête de la mer. Le parcours tracé sur la carte s’éloignant de la plage permit aux randonneurs de monter jusqu’au village de sainte Marguerite et d’y découvrir un magnifique panorama qui portait par ce beau temps jusqu’aux jetées de Saint Valery.

La traversée du bois d’Ailly, humide par les récentes pluies, permit de rejoindre par un sinueux mais très sympathique sentier, au travers d’une ancienne pinède, le phare d’Ailly que l’on découvre au dernier moment tant il est en pleine végétation.

Profitant de la pause café prise au pied des nombreuses sources jaillissantes, Philippe le guide du jour confirma que celles-ci rongent la falaise et contribuent à la disparition progressive des anciens ouvrages existant par le passé sur ce site. C’est une longue descente traversant les jardins et les  parcs d’élégantes propriétés parfaitement dissimulées derrière les hauts massifs d’hortensias qui permit d’atteindre le hauts des gorges de Vasterival et du Moutier qui descendent à la mer.

Maintenant le sentier très ombragé remontant un cours d’eau  amena le groupe à la hauteur de l’église de Varengeville . La superbe vue de cet endroit, et grâce aux conditions exceptionnelles de ce beau jour de juillet, allait au-delà de Dieppe d’un côté et Etretat de l’autre.
Un peu après midi sonné, les sacs s’ouvrirent sous le préau de la mairie aimablement mis à disposition pour un pique-nique improvisé. Une courte sieste bien méritée  et les marcheurs reprirent la route très agréable et ombragée, quittèrent avec regrets ce charmant village, passèrent derrière le célèbre manoir d’Ango et traversèrent les plaines des longs « Boyaux » et les bois de la « Novale » pour rejoindre la rive verdoyante de la Saâne jusqu’à Quiberville leur point de départ.

Après ce parcours d’une vingtaine de kilomètres, les randonneurs à peine fatigués mais très enthousiastes prirent le pot de l’amitié… bien frais.


valmont
« M.P.D. TRACE SON CHEMIN"

«BALADE EN VALLEE DE LA VALMONT »

En ce dimanche 1er juillet 2012, un petit groupe d’une dizaine de randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » sous la houlette de « Jacques », qui avait pour la première fois coiffé la casquette de guide, a pris le départ pour une visite de la très belle et riche vallée de la Valmont qui conduit à la côte d’opale où se pressent déjà les touristes.

Le départ était donné depuis la petite église de Thiergeville, dans une ambiance humide qui obligea chacun de se vêtir d’un ciré. Le chemin emprunté dès le départ qui longe la forêt s’avéra être très mal entretenu, et ce fut une avance pénible dans des grandes herbes , chardons et orties mouillés et collantes. Quelqu'un s’est esclaffé : »Il nous faudrait des machettes pour avancer dans ce fouillis ??? ».

Le groupe garda malgré tout sa bonne humeur, tout en avançant vers le manoir de Colleville, le lieu dit « les maisons neuves » puis traversa la valmont aux portes de Colleville. Les marcheurs longèrent un temps le cours d’eau, puis ils remontèrent vers les hameaux de « La Perruque, du Vasouy », et après celui de « La Hatés » redescendirent vers la valmont où déjà l’heure de midi sonnait le moment du déjeuner. Le temps pluvieux ne se prêtait à de longues libations, aussi les randonneurs reprirent le chemin vers Valmont sans tarder. La traversée de la ville appelée (la petite Suisse Cauchoise) se fit tout en admirant le château bâti en l’an 1110 par Robert d’Estoutteville, dont reste malgré les guerres l’un des donjons le plus ancien et mieux conservé de France.

Un coup d’œil fut donné également à l’abbaye  Notre Dame Des Prés qui abrita  des frères bénédictins, depuis sa fondation en 1169 par Nicolas d’Estoutteville, puis des sœurs bénédictines de Lisieux en 1994. La pluie ayant cessé de tomber, la découverte de l’étang du Vivier fut un enchantement pour les yeux, et chacun oublia les aléas du matin. La randonnée se termina par un chemin du magnifique bois du Château qui emmena les randonneurs vers la route départementale qui traverse Thietreville puis accède au petit village de Thiergeville et son église St Martin  lieu du départ.

Chacun se félicita de cette belle balade effectuée sur environ 20 km malgré ce début juillet maussade  


bardouville
« A l’écoute de la légende du Corset rouge » 

«VIVEZ LA SEINE AVEC M.P.D. »

En ce dimanche 17 juin 2012, après avoir accompli leur devoir civique, les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte »  ont répondu nombreux à l’invitation de Philippe et Paule pour une découverte des paysages de la Seine dans la boucle de Bardouville.

Là, la décomposition de la lumière dans l’air humide, la variété des couleurs, des refletsverts et les ciels changeants sont particulièrement propices à l’inspiration des peintres. La matinée était déjà bien avancée lorsque les marcheurs débarquant du bac de Duclair s’engagèrent sur le chemin qui longe la rive gauche de la Seine et qui débouche à l’ancienne maison du passage de la Fontaine. A cet endroit, jadis, lorsque la cloche retentissait de l’autre côté de l’eau, le passeur actionnait son « bachot » pour chercher les personnes désireuses de traverser le large cours d’eau.

Dès lors, le parcours s’éloignant du fleuve emprunte une étroite voie goudronnée bordée d’une multitude de coquelicots, de bleuets et de reine- marguerites qui amena le groupe à l’ancien manoir des templiers d’Ambourville. La pause café fut faite en cet endroit calme, avant de reprendre le chemin de nouveau en bordure de la Seine jusqu’à Bardouville où l’église St Michel et le château dominent le fleuve, offrant aux promeneurs un point de vue exceptionnel. Encore à nos jours la légende du « Corset rouge » flotte autour du célèbre château. Le repas du midi fut pris sous un soleil ardent dans une ambiance des plus chaleureuse « fête des pères oblige ».

Les randonneurs quittant Bardouville passèrent devant le chêne plusieurs fois centenaire qui accueillit des dizaines de générations de gamins sur ses robustes branches et s’arrêtèrent le temps d’une photographie. Les marcheurs  descendirent le chemin de la corne du cerf au travers d’une odorante forêt de pins pour rejoindre les plaines du Brésil et ainsi se rapprocher de la Seine qu’il fallut suivre pour rejoindre le passage d’eau de Duclair. Le sol herbeux parfaitement tondu facilita la marche des randonneurs qui commençaient à avoir les pieds lourds.
Ils découvrirent encore quelques châteaux aux noms évocateurs tels que : le manoir du Brésil, les châteaux des quatre girouettes et de la cheminée tournante.

En fin de parcours, les cerisiers chargés de fruits rouges invitèrent les marcheurs à la dégustation, court entracte avant de reprendre le bac et rejoindre St Wandrille où le traditionnel pot de l’amitié fut servi…en plein air…


« Au pied du château de la Couture »

« EN SUIVANT LA SAANE »val de saâne

Dimanche 3 juin 2012, les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » se sont regroupés autour de l’église de Varvannes pour une marche de 22 km environ sur un parcours spécialement étudié pour une découverte de cette vallée de la Saâne si attrayante.
Tôt dans la matinée, sous une température agréable mais un petit vent et un ciel nuageux, les marcheurs quittèrent ce lieu très discret par le Gr 212.

Le chemin en sous bois, très protégé du vent, mena le groupe devant la fontaine St Sulpice d’où partent les sources de la Saâne.
C’est en suivant le cours de cette petite rivière vigoureuse que les randonneurs, après une traversée (bain de pieds) à guet et un parcours bitumé indépendant de la volonté de Philippe notre guide, purent découvrir la charmante  église du XIIème Siècle de « la Fontelaye » dédié à St Martin dont «  le fin clocher se mire dans l’eau d’une rivière » comme le dit le poète.

Après une longue halte en ce site enchanteur, et après avoir admiré les couleurs restaurées des fresques du cœur de ce lieu de culte, le chemin tantôt en fond de vallée, tantôt parfaitement sec à mi-coteau, mais toujours bordé de hautes futaies, guida les marcheurs jusqu’au village de Val-de-Saâne. Autrefois rythmé par les foires et les marchés, le village est aujourd’hui une station verte de vacances.

Le chemin conduisit les marcheurs vers Imbleville et jusqu’au parc du château de « La Couture ». Ce château du XVIème, qui doit tout son charme à son exceptionnelle situation au milieu de nombreux plans d’eau dans lesquels son élégante silhouette aux tours pointues se reflète majestueusement, fait partie des joyaux du pays haut-normand. Là, quelques oies blanches et cygnes majestueux gardiens de la propriété firent comprendre aux intrus qu’ils n’étaient pas les bienvenus….

Plus loin, le groupe quitta avec regrets cette pittoresque vallée autrefois jalonnée de nombreux moulins, de quelques filatures, pour rejoindre, en remontant par une petite route qui sembla interminable, St Pierre de Bénouville. C’est dans la cour de l’école du village, sous le préau, mis aimablement à la disposition des randonneurs, que chacun reprit les forces nécessaires pour la marche de l’aprés- midi.
Le groupe quitta St Pierre de Bénouville, ancien village de forgerons, pour reprendre le chemin du retour en suivant la lisière de la forêt qui coiffe la vallée de la Saâne.

les randonneurs fatigués mais heureux de cette belle journée rejoignirent les voitures à Varvannes et retournèrent vers St Wandrille pour le traditionnel pot de l’amitié.


petites dalles
« Les hauteurs de St Pierre-en port »

 «SUR LE CHEMIN DES PETITES-DALLES »

La brume qui montait du sol en ce dimanche 13 mai 2012 annonçait une très belle journée ensoleillée.
Les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » avaient rendez-vous à l’entrée de la grotte des Petites-Dalles pour une visite de cette excavation surement creusée par une rivière souterraine.

grottes petites dallesAccueillis chaleureusement par notre guide spéléologue, et avant de pénétrer dans ce lieu insolite, il fallut se coiffer d’un casque de protection pour pouvoir circuler en toute sécurité sur ce chemin souterrain  très étroit, tortueux et d’une hauteur sous la roche très restreinte.

Cet ancien passage de rivière dégagé sur une profondeur de plus de 400 mètres permet aux visiteurs de découvrir le travail effectué par les eaux sur la roche et comprendre comment s’est fait le dépôt des alluvions au cours du temps.

Au plus profond d’une cavité, les plus téméraires du groupe, à l’aide d’une corde accrochée à la paroi, découvrirent des petits Rhinolophes (chauves souris) habitués de ces lieux de pénombres.

A la sortie de la grotte, le soleil radieux, déjà haut dans le ciel, réchauffa les marcheurs après ce séjour intéressant dans les entrailles de la terre.
Le repas du midi servi à St Pierre-en-port permit à chacun de reprendre des forces pour le parcours de l’après-midi qui démarrait par le haut de la falaises de St Pierre. Une vue imprenable portant jusqu’aux portes d’Etretat confirma que certains jours, l’eau de la Manche peut être aussi calme que celle d’un lac. (pas une ride à l’horizon…)

Après un passage au travers de la valleuse des Grandes-Dalles, les randonneurs remontèrent en traversant le village aux anciennes et élégantes maisons de pêcheurs et aux villas tarabiscotées qui datent du XX ième siècle, preuve tangible d’une fréquentation fidèle à cette époque.

Dès la petite chapelle, les marcheurs empruntèrent le large chemin ombragé qui rejoint Sassetôt-le-Mauconduit en suivant le balisage du chemin creux « des fonds du Hêtre ». En passant devant le château où séjourna le temps d’un été la célèbre impératrice Elisabeth d’Autriche dite SISSI, les marcheurs, eux aussi, purent profiter du climat vivifiant de ce petit coin niché le long de la côte d’Albâtre.

Durant la remontée en sous bois vers la plaine de St Pierre-en-port, Edith, notre guide du jour, nous fit un historique de ce charmant bourg cauchois qui fournit par le passé à « la grande pêche » bon nombre de marins tandis que les épouses restées à terre fabriquaient et ramendaient les filets assises devant leurs maisons modestes encore visibles aujourd’hui.

Après cette journée riche en découvertes, le pot de l’amitié fut servi au foyer du village dans une ambiance chaleureuse agrémentée par quelques coups de soleil .


blainville
« Sur la forteresse d’AC » 

« SUR LE CHEMIN DES CINQ CHATEAUX ».

« Marche, Plaisir, Découverte » à invité ses adhérents le dimanche 29 avril pour une randonnée pédestre d’environ 20 km  autour de BLAINVILLE-CREVON.
Une douzaine de fidèles, courageux par ce temps pluvieux, mais malgré tout  heureux de cette initiative, sac à dos sur les épaules, prirent le départ devant le parvis de l’ancienne collégiale St MICHEL, aujourd’hui église de Blainville-Crevon.
Abrités de la pluie sous le porche de l’église, les marcheurs étudièrent le tracé du parcours élaboré par Philippe le guide organisateur de la journée.
Les marcheurs quittèrent Blainville-Crevon en passant près de « la ferme de madame BOVARY » avant de s’engager sur un chemin de terre longeant « le bois des Pierres ». C’est là que chacun put découvrir les chaos de Poudingue, vestige de l’ère glacière fortement érodés par le temps.
Le chemin traversant les pâtures  mena les randonneurs devant le château de MONDETOUR.
Les randonneurs admirèrent à loisir son architecture remarquable du 18ième siècle, son élégant colombier, signe de noblesse et de suzeraineté.
Après un long parcours traversant les plaines ensemencées  en  blés et orges, encore jeunes pousses vertes, et couvertes d’une mer jaune de colza, le groupe fut intrigué par la présence d’une tour de guet du « chasse marée » qui autrefois contrôlait le passage des rapides attelages qui se dirigeaient vers Rouen et Paris pour livrer la pêche du jour.
Le ravin de VIMONT très glissant et raviné par les eaux  fut emprunté pour rejoindre le château de BIERVILLE, élégante demeure du 19ième S. qui appartenait au comte HENRI de LA VAUX, pionnier de l’aéronautique française. (Ce dernier vola avec Jean MERMOZ au dessus de la cordillère des Andes).
Le pique-nique fut pris sous le préau de l’école communale, les marcheurs  se séchèrent et  reprirent des forces pour la marche de l’après-midi qui s’annonçait plus clément ?
Une étroite route très pittoresque descendant à travers bois permit de découvrir au fur et à mesure de la marche les cheminées, la toiture, puis la façade et les jardins du magnifique château de « Fontaine Châtel » et de ses classiques dépendances.
Après le franchissement du Crevon, il fallut remonter sur le plateau par un chemin agréable surplombant les paysages si chers à GUSTAVE FLAUBERT pour arriver au mur d’enceinte bordé de châtaigners du château « MONTLAMBERT ».
Cet itinéraire jalonné par cinq châteaux, dignes représentants du patrimoine normand, se termina par la découverte des vestiges du château le plus ancien mis à jour en 1967, la forteresse d’AC où se déroule chaque année un festival de jazz renommé.
Tous les randonneurs ravis de cette sympathique, mais pluvieuse «  journée découverte » se quittèrent après le traditionnel pot de l’amitié.

 


camembert
«DEPART DEPUIS VIMOUTIERS»

« BALADE AU PAYS DU CAMEMBERT»

« Marche, plaisir, Découverte » s’offrait ce Week-End du 14 et 15 avril une randonnée au pays du camembert et plus précisément dans les hautes et vertes collines plantées d’innombrables pommiers qui font tout ce beau pays d’Auge, aux alentours de Vimoutiers et du village de Camembert.
Vimoutiers, relié dès le samedi après-midi par un groupe d’une vingtaine de marcheurs, est une charmante ville  qui se blottie dans une large vallée où coule paresseusement la rivière « la Vie ».
Cette cité qui a beaucoup souffert lors de la dernière guerre, est une ville neuve et fleurie où se côtoie architecture moderne et traditionnelle augeronne. On peut y voir une statue de sa célèbre égérie Marie Harel inventrice pour certains du célèbre Camembert si réputé dans le monde entier.
Après une soirée joyeuse et très conviviale passée dans un restaurant face à la vache « Ratisfette » en bronze qui trône au centre de la place de la mairie, les randonneurs rejoignirent leur hébergement et leur petite chambre dans un ancien pensionnat. Ce fut bien sûr l’occasion pour certains de refaire quelques plaisanteries de potaches, ce qui maintint la bonne humeur du groupe.
Après un petit déjeuner copieux pris au pensionnat, les randonneurs étaient prêts à partir dès  huit heures trente du matin pour une balade d’environ 19 km à travers forêts et plaines verdoyantes où les pommiers et les bovins sont légions.
Les marcheurs s’élancèrent depuis la place des halles vers les hauteurs et « les Génevrais » par un chemin pentu qui n’était que la première difficulté de la journée, mais pas la dernière…
Tout au long de ce beau dimanche, un vent glaciale accompagna le groupe qui, malgré tout marcha souvent bien à l’abri dans des chemins creux appelés « cavées », où sentiers typiques du pays d’auge bordés de haies d’aubépine et d’arbres taillés en forme de « têtard ».
Les marcheurs traversèrent la vallée du ruisseau « du moulin neuf » où se sont formés des étangs pour la joie des pêcheurs augerons et celle des promeneurs. Ce coin entouré de forêts et de champs où paissent les célèbres vaches normandes est véritablement un enchantement pour les yeux…
Les randonneurs traversèrent la vallée d’Orival, et c’est par le lieu-dit « les Bruyères et le quartier de « Beaumoncel » qu’il descendirent sur le petit village de Camembert où les attendait Paule et Denise pour le déjeuner préparé par le personnel de notre ex-pensionnat.
Le casse-croute fut englouti assez rapidement car le vent fort et persistant ne se prêtait pas à la flânerie.
La boutique musée étant encore ouverte, les marcheurs purent se procurer quelques produits régionaux et autres souvenirs de ce pays du camembert.
Il fallait déjà reprendre le chemin, mais personne ne se fit prier car il était impératif de se réchauffer.
Le chemin de « la jardinière », après le passage de la rivière « la Viette » grimpait pour atteindre la cote de 227 mêtres avant de redescendre à travers une belle forêt déjà verdoyante qui emmena le groupe vers la vallée de la « Vie »et les faubourgs de Vimoutiers.
Les montées et les descentes se succédaient tantôt en plaine, où un vent de coté accueillait le randonneur, tantôt en sous bois ombragés qui offraient une protection passagère.
C’est avec un réel soulagement, tant le vent maintenant était très fort et les abris rares, que les randonneurs rejoignirent la place de la mairie et la statue de bronze de « Ratisfette » pour boucler ce beau parcours ..
Le W.E. se terminait dans la bonne humeur et la satisfaction d’avoir tous participés à un moment de grand bonheur.

 


« Photo à N.D. de GRACE » 

«Honfleur, sentinelle de l’estuaire ».

Dimanche 25 mars, les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » se sont donnés rendez-vous à HONFLEUR pour une redécouverte  de cette cité chargée d’histoire où les peintres ont élu domicile depuis le 19ème  siècle.

Après des commentaires très intéressants sur la vie et l’histoire de ce port de pêcheurs à travers les âges donnés par Ghyslaine, les marcheurs longèrent les quais du grand bassin encore très peu fréquentés à cette heure (d’été), et montèrent place sainte Catherine, après une courte halte devant les vestiges de la Lieutenance, ancienne demeure du gouverneur de la ville où une plaque commémorative honore le grand découvreur du Canada Champlain.

Cette place, connue de tous pour son église au clocher séparé de l’édifice, mérita une pause et quelques explications. Notre « conférencière improvisée » commenta avec brio le passé de ce lieu de prières qui fut construit en bois par des charpentiers de marine à la fin de la guerre de 100 ans pour remercier Dieu du départ, si longtemps souhaité, des anglais. Cette église est le plus grand édifice religieux en bois de France.
Les marcheurs quittèrent les vieux quartiers pour rejoindre la sente du Mont JOLI. Cette côte se terminant en chemin fut « la plus grosse difficultés » de la rando.

Ils reprirent leur souffle en profitant du panorama qui s’ouvrait sur la ville de Honfleur et ses bassins, mais  ne purent à peine distinguer le pont de Normandie figé dans une brume persistante.

Après une visite et une photo du groupe à la chapelle  N.D. de GRACE, haut lieu de pèlerinage, les randonneurs reprirent la route toujours avec bonne humeur, empruntèrent un chemin empierré qui les mena au bois du BREUIL qu’ils traversèrent.

Cette forêt, toujours exploitée écologiquement avec des chevaux, regorge de plantes florales, encore endormies en ce début de printemps, qui tapissent les abords des sentiers.

La rive de l’estuaire toute proche fut vite rejointe, et le déjeuner tiré des sacs  vite absorbé en bordure de mer où les attendait Paule.
Les marcheurs ragaillardis  traversèrent le charmant village de PENNEDEPIE  et grimpèrent à travers les futaies du bois du BREUIL, aperçurent le très beau manoir du même nom et rejoignirent  EQUEMAUVILLE.

Après une descente par « une cavée » plutôt boueuse, ils empruntèrent un sentier ombragé agréable qui longe un tumultueux ruisseau qu’il fallut traverser plusieurs fois. Ils rencontrèrent plusieurs hameaux et villages nichés dans un agréable écrin de verdures, bercés par le chant continuel des oiseaux heureux de cette belle journée de soleil.

 HONFLEUR, très animé et grouillant de touristes, accueillit les marcheurs qui visitèrent le pittoresque quartier de « L’ENCLOS ». Ce vieux quartier a su conserver un de ses greniers à sel et ses maisons médiévales exceptionnelles.

Le pot de l’amitié fut servi à Berville, halte agréable au bord de la Seine, où chacun se désaltéra après cette belle journée printanière.

 


visite de l'abbaye « NOTRE-DAME-DU-VŒU »

« AUTOUR DE L’ABBAYE DU VALASSE. »

Les marcheurs de  « Marche, Plaisir, Découverte »  se sont retrouvés le dimanche 11 mars 2012 à LILLEBONNE pour une randonnée de vingt km sur les sentiers qui entourent la magnifique « vallée du commerce », autrefois riche par ses usines de textile, et tout particulièrement la très belle abbaye cistercienne du 12ème  siècle du Valasse au passé lourd d’histoire.

Cette ancienne abbaye Cistercienne, aux pierres blanches lumineuses sous le soleil haut normand de cette belle journée, aujourd’hui réhabilitée et transformée en lieu de rencontre et de culture au sein d’un parc de loisirs dédié au développement durable (EANA- terre des possibles), eut un passé très chaotique.

Elle  fut tour à tour, filature en 1831 avec son propriétaire Pierre Abraham Fauquet, château avec jardin d’hiver en 1848,  dépôt de cavalerie, hôpital vétérinaire, puis laiterie jusqu’en 1984. Rachetée par la municipalité, le projet « EANA » vit le jour en 2008.

Les randonneurs prirent le départ depuis le parc des Aulnes où déjà quelques pêcheurs silencieux trempaient leur ligne dans l’eau des étangs nimbés par une petite brume rasante.

Il fallut prendre le chemin du GR2 au passage ferroviaire de Lillebonne et gravir  la côte de St Jean de Folleville jusqu’au lieu dit « Le ruel Meyer »,  redescendre par le bois « de la côte des Forges » et traverser la vallée du commerce au Becquet.

Le très beau bois de « la grande pièce » accueillit les randonneurs qui, au fil de leurs pas, découvrirent la blanche abbaye dans son écrin de verdure au travers des arbres démunis de feuille.

La descente vers Gruchet-le-valasse fut l’occasion de s’arrêter à « la mare aux loups », où manifestement les animaux de la forêt viennent encore s’abreuver si l’on en croit les nombreuses traces aux abords.

Plus loin, groupés devant l’entrée d’une grotte taillée dans le calcaire, les marcheurs écoutèrent les commentaires donnés par un des randonneurs sur cette cavité d’où l’on extrayait de la marne, qui fut d’abord aménagée comme abri anti- radiations dans les années 80, puis transformée en champignonnière et finalement exclusivement réservée comme gîte pour les chauves souris…. Après une halte à l’église St Thomas BECKET, située sur les hauteurs de Gruchet, pour une lecture plus où moins précise des grafitis recouvrant les murs extérieurs du chœur, le groupe rejoignit Paule dans la cour de l’école Hélène Boucher, aimablement prêtée pour le pique-nique par la municipalité. Chacun ouvrit son sac, et se restaura sous un soleil presque printanier.

Les marcheurs reprirent la route pour rejoindre St Antoine la forêt et le hameau des Côtières, puis par le « chemin de Fécamp », descendirent à travers bois vers l’abbaye du Valasse baignée de soleil.

Le temps d’une photo de groupe et d’un peu d’histoire autour de ce lieu magnifique, les randonneurs ayant un peu les jambes lourdes longèrent la clôture du parc EANA où chacun put  voir les arrières de l’abbaye du Valasse et entamèrent la descente vers le  « Becquet » puis vers « le parc des Aulnes » où les attendait Paule pour le pot de l’amitié au bord des étangs très fréquentés en cette belle journée…


« Au cœur de « St Georges de Boscherville »

« Autour de St Martin de Boscherville »

Sur un parcours en boucle d’environ 20 km, ayant pour centre d’intérêt la magnifique abbatiale de St Georges de Boscherville,  une vingtaine de marcheurs de « Marche, Plaisir, Découverte » se retrouvaient  de bon matin ce dimanche 26 février 2012.

Le départ donné depuis le lieu dit « la fontaine » fut déjà l’occasion de découvrir l’ancienne chapelle ste Anne reconvertie en demeure privée depuis bien des années. Les randonneurs gravirent quelques marches taillées à flanc de côte pour rejoindre le GR2 qui serpente le long de la corniche crayeuse et domine la Seine.

Par endroit dégagé de toute végétation, le point de vue, plongeant qui permet d’ordinaire de découvrir un des plus beau méandres de la Seine et son marais bien humide en cette saison , est resté désespérément dans un halo de brume sous une lumière blafarde et un ciel gris plombé. Cette atmosphère hivernale donnait à ce paysage d’habitude verdoyant une teinte de grande mélancolie…

Les marcheurs passèrent aux alentours du village de Hénouville et du château du Perrey, puis toujours sur le GR2 redescendirent vers la D982, le Val St Léonard et l’entrée de St Martin de Boscherville et ses premières demeures.

Une halte sur le parvis de l’abbatiale St Georges fut l’occasion de quelques prises de vues, chacun put contempler l’architecture romane Normande du XII et XIIIème Siècle et détailler de plus près cette imposante bâtisse aux deux tours de pierres blanches symétriques qui lui confèrent toute sa majesté et semblent naturellement  inviter à la prière.

Après une traversée du bourg, les randonneurs prirent le chemin du château blanc qui mène à la chapelle dédiée à  St Gorgon  (Soldat romain martyrisé en Grèce qui avait pour nom Gorgonius), chapelle classée aux monuments historiques, maintenant située en propriété privée.
Un repas chaud attendait le groupe, sous la forme d’un  pot au feu maison, à l’auberge du village « La belle de Mai » où Paule et Michel se joignirent à eux.

Les marcheurs, maintenant requinqués, s’engagèrent sur la chaussée St Georges sous un beau soleil revenu, traversèrent le marais où paissent des bœufs des Highlands aux cornes impressionnantes et rejoignirent le chemin de halage en bord de Seine.

Ici, la très belle perspective sur le beau méandre de la Seine fit sortir les objectifs des sacs, et Philippe profita de l’occasion pour expliquer et détailler la légende du « Corset rouge », sans oublier celle de la chaise de Gargantua et du malheureux paysan cauchois qui essaya de traverser la Seine sur les cuisses du géant endormi…..

Les randonneurs longèrent ce qui était l’ancienne île St Georges puis la base nautique d’Hénouville et revinrent vers leur lieu de départ : le parking de « La Fontaine ». La boucle était bouclée…

Le pot de l’amitié regroupa tout le monde à la salle de la Caillouville de St Wandrille  et ce fut l’occasion de se remémorer les points forts de la journée et de se donner rendez-vous pour la prochaine sortie.

 


«Photo devant le pont de Brotonne »

« SUR LES HAUTEURS DE CAUDEBEC AVEC M.P.D. »

Il fallait être bien équipé pour la neige et les grands froids en cet après-midi de randonnée sur les chemins alentours de Caudebec !...Un groupe de passionnés de « Marche, plaisirs, découverte » d’une petite trentaine de membres prit le départ du centre de St Wandrille pour une rando. d’environ 12 km.

Après un passage par la cité LATHAM, les marcheurs foulèrent la neige par endroit épaisse et poudreuse, dans le chemin qui traverse la Rançon en direction  du pont de Brotonne et de la route qui monte à Rétival.

De ce lieu où domine le très beau manoir de Rétival magnifiquement restauré, la vue est sublime d’un côté sur la Seine et ce pont aux allures de voilier, et de l’autre côté sur les premières riches maisons de Caudebec rescapées de l’incendie qui ravagea toute la ville en 1940.
Les randonneurs après un dernier regard vers cette belle église à la tour en forme de tiare (qui en fait, avec l’église de St Maclou de Rouen, l’un des plus beaux fleurons haut- normands), s’engagèrent dans la rue de la Vignette terminée par des escaliers assez raides. A partir de ce moment ils entrèrent en forêt.

Comme pour ajouter une note montagnarde à cet après-midi glacial par ces chemins très enneigés quelques flocons de neige se mirent à voleter…Chacun apprécia de marcher dans cette poudreuse fluide par endroits uniquement foulée par les animaux et autres oiseaux habitants de la forêt. Arrivés à la maison forestière de la haie des prés, les randonneurs empruntèrent le GR2 qui les emmena jusqu’à la vallée de la Rançon et le petit village du même nom au clocher de pierres et à l’ancien moulin bardé de stalactites de glace transparente.
Encore un petit effort par le chemin qui longe la vallée de la Rançon à travers bois, et le groupe déboucha en surplomb de l’abbaye de St Wandrille aux cheminées fumantes.

Le pas se fit plus rapide malgré la fatigue à l’approche de la salle de La Caillouville où les attendait Paule avec une collation et des boissons chaudes bien méritées.


« Devant l’église de Bébec »

« RANDO. AUTOUR DE BEBEC ».

C’est de la petite église de Bébec, que les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » s’élancèrent ce dimanche 22 janvier par un après-midi très venteux au ciel chargé de gros nuages gris et noirs.

Le groupe put découvrir ou redécouvrir ce lieu de culte du XVIème siècle aux murs de pierres blanches de pays recouverts dans leur partie basse par de nombreux graffitis maritimes.

Le petit cimetière possède des tombes protestantes orientées « têtes bêches » par rapport  aux sépultures catholiques, ce qui en fait leur originalité. Le froid porté par un vent violent qui balayait le parvis incita les marcheurs à prendre la route rapidement ; ce qui fit dire à Daniel ce petit jeu de mots : « Ne restons pas là bouche « bée », où nous allons claquer du « Bec » !... »

Le groupe s’engagea d’abord dans un chemin boueux aux ornières profondes qui le conduisit au « Quesnay » et c’est en longeant les bois de «Caumont» que le hameau de «Cantepie» fut atteint. Les marcheurs entrèrent alors en forêt de VILLEQUIER et rejoignirent le célèbre GR2 par le lieu dit « Les étoiles ». Là, une forêt très ordonnée et entretenue aux essences variées et aux chemins larges s’ouvrit aux pieds encore boueux et crottés des randonneurs.

Après s’être approché du lieu appelé « jardin des plantes », les marcheurs traversèrent le hameau de « Cambuse », et aperçurent le beau château de « Caumont » inscrit aux monuments historiques depuis 1972. Ils rejoignirent « le Quesnay » et montèrent le chemin herbeux et raviné par les pluies récentes qui conduit au château de Bébec. On a du mal à croire que cette belle demeure du XVIIème siècle, dans son grand parc de verdure aux arbres centenaires, a subit un terrible incendie en février 2010 qui ravagea entièrement toute sa toiture et ses combles. Les randonneurs contents de leur balade rejoignirent le tertre de l’église de Bébec, et se dirigèrent en voiture vers St Wandrille et la salle de la Caillouville  où le pot de l’amitié fut encore l’occasion d’un moment de convivialité très apprécié par les anciens et nouveaux adhérents de « Marche, Plaisir, Découverte ».


« Halte à l’auberge du val au Cêne »

« RANDO. EN VAL AU CESNE ».

Le 6 janvier, pour sa marche de reprise en cette nouvelle année 2012, « Marche, plaisir, Découverte » avait invité ses adhérents pour un parcours d’environ 10 km sur une après-midi qui devait les emmener dans le beau et verdoyant Val au Cesne. Une vingtaine de randonneurs répondirent « présent », et après s’être souhaités pleins de bonnes choses pour cette nouvelle année, Ils démarrèrent la marche depuis le village de Touffreville-la-corbeline.

Les marcheurs s’enfoncèrent dans les bois aux arbres dénudés et aux sentiers boueux en cette saison et traversèrent successivement le bois de « la roche sèche » puis le bois « de Caux ».

Les langues allaient bon train, les commentaires sur les fêtes et les cadeaux du père Noël alimentaient la plupart des conversations…

Le GR 211a emmena le groupe jusqu’au Val au Cesne après la traversée des vergers de pommiers du hameau « du Verbosc ». Quelques uns cueillirent les pommes rouges et appétissantes qui pendaient encore aux branches décharnées et apprécièrent la douceur sucrée de ces fruits typiquement Normand qui les requinqua.

Une pause photo s’imposa devant la superbe auberge du Val au Cesne qui attire tant de gourmets autour de sa table traditionnelle et raffinée. Philippe expliqua que ce nom de val au Cesne avait un rapport à « la Cesne «  dernier repas du Christ et de ses apôtres rendu célèbre par de nombreux artistes peintres.

Tous les ans jadis, au moment de Pâques, traditionnellement était servi gratuitement aux pèlerins et gens de passage un repas exclusivement composé de salade de pissenlit et d’œufs durs. Cette tradition perdure mais moyennant finances maintenant. Les randonneurs remontèrent sur le plateau toujours par le Gr 211a  à la pente escarpé qui aboutit après un long chemin boueux traversant la plaine au quartier de « La croix Flammand ».

La nuit commençait à tomber sur Touffreville-la-Câble quand le groupe reprit la route vers St Wandrille Rançon et la salle de « la Caillouville » où les attentait Paule pour le pot de l’amitié et la traditionnelle galette des Rois accompagnée de quelques bouteilles de cidre bouché. 

Quelques rois et reines furent élues pour l’année et c’est dans la bonne humeur que rendez-vous fut pris pour la prochaine sortie.

 


 

 
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Tarif : adhésion : 6€ et rando. 3€. (enfant moins 12 ans : gratuit)
S’inscrire le plus rapidement possible auprès de :
PH. BOULLIER tél : 02.35.96.08.40, ou D. JOURDAIN tél : 02.35.38.19.09,

 

Après la randonnée, chaque marcheur se retrouve dans une salle communale à St WANDRILLE RANÇON pour tirer les conclusions de la journée passée ensemble, donner ses suggestions éventuelles et revoir les photos prises lors de la ballade ou des ballades précédentes.
Un pot de l’amitié lui est offert par « MARCHE, PLAISIR et DECOUVERTE » pour clôturer la journée dans une ambiance qui se veut joyeuse.

Nous demandons aux personnes désirant participer aux randonnées préfixées de bien vouloir s’inscrire au moins 8 jours avant la date de la randonnée auprès des responsables dont les coordonnées suivent, ceci pour le bon déroulement de la randonnée.

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