Association Loisirs et Culture

de Saint Wandrille-Rançon

 

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    retour compte-rendus 2010


Section : "Marche, Plaisir et Découverte"

Pour tous renseignements et inscription, contacter :
     Boullier Philippe     tel : 02 35 96 08 40
     Jourdain Daniel     tel : 02 35 38 19 09
     Raulin Jean-Marie     tel : 02 32 83 38 67 ou 06 61 68 98 12

Compte-rendu des sorties 2009

« RANDO. AUTOUR DE DUCLAIR »

« AU PANORAMA DE DUCLAIR »

Pour la dernière sortie de l’année, les randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » avaient choisi DUCLAIR comme point de mire, car ce dimanche 13 déc.2009 était aussi l’occasion d’un repas de fin d’année au restaurant.

C’est une trentaine de marcheurs qui partirent de bon matin  pour une première boucle d’environ 10 km, bien couverts car un petit vent frisquet les attendait sur le parking du syndicat d’initiative.

Le soleil encore pâle pointait le bout de son nez, quand les randonneurs montèrent la côte des moulins vers les quartiers nord de Duclair. Ils traversèrent les bois  en empruntant une partie du GR2 puis redescendirent d’un pas léger vers St Paul et la beau château « Du Taillis ».
Après avoir traversé la route principale , ils remontèrent vers la forêt de Jumièges et furent aussitôt accueillis par des trompes de chasse qui annonçaient la présence des chasseurs de sangliers.

Une halte à « la croix de l’âne » fut l’occasion pour Philippe, notre historien, de nous conter l’étrange histoire de ces ânes qui traversaient la forêt pour ravitailler l’abbaye de Jumièges. » Un jour ils furent attaqués et dévorés par des loups. Pour punir ces mécréants, Ste Austreberthe condamna ces affamés à tirer les charrettes de linges et victuailles à la place des malheureux ânes le restant de leur vie ».

Un peu plus loin sur le GR23A, le groupe s’arrêta au fossé  jadis creusé par les moines et St Philibert en guise de retranchement pour protéger l’abbaye de Jumièges de toute attaque barbare ?…

La petite chapelle « de la mère de DIEU » un peu plus loin , très bien entretenue surprit chacun par son isolement et l’austérité du lieu où des pèlerins viennent encore se recueillir chaque année.

Les marcheurs longèrent les falaises qui domine la belle boucle de la Seine et rejoignirent Duclair par le chemin de halage sous un soleil éclatant.
Un repas de fin d’année fut servit au restaurant »Le coq hardi » où une quarantaine d’adhérents se régalèrent et se retrouvèrent en une très grande convivialité.

L’après-midi,  une balade digestive de 4 km  conduisit le groupe sur le chemin du Panomara, point de vue imprenable sur la très belle ville de DUCLAIR. Le retour se fit par le lieu dit « L’Anerie » et le bord de Seine. Déjà les lampadaires étaient allumés et les randonneurs passèrent devant la mairie illuminée aux couleurs de fêtes, et s’attardèrent quelque peu au marché de Noël bien achalandé.

Au retour vers St Wandrille les attendait Paule, et c’est au « Mille Clubs » que la soirée se termina par un buffet froid animé par une séance rétrospective des meilleures randos de l’année 2009 sur écran blanc, et une animation impromptue de notre excellent troubadour Dominique. Madame Dessaux, maire de St Wandrille, et son époux Robert , président du club  « Loisirs et Culture » nous honorèrent par leur présence à cette apéritif de clôture. C’est à regrets que les marcheurs se quittèrent en se donnant rendez-vous en janvier 2010 pour une prochaine randonnée. Bonnes fêtes à tous !…



 «  Au passage d’eau de Jumièges »

« JUMIEGES : presqu’île aux fruits multicolores !… »

Ce dimanche 01 novembre 2009, malgré des prévisions météo. défavorables, un petit groupe de randonneurs fidèles de « Marche, Plaisir, découverte » quittaient le magnifique cadre de l’abbaye royale pour « attraper » de justesse le bac transbordeur….

De l’ « autre côté de l’eau » , comme il se dit « cheu nous », les marcheurs bien équipés pour affronter les éléments dignes d’un jour de Toussaint étaient prêts pour effectuer une balade préparée avec soins par Paule et Philippe  d’environ 22 km.

Le début de parcours invita les marcheurs à emprunter et suivre le chemin de halage jusqu’aux ruines des anciennes briqueteries dissimulées sous une épaisse végétation, puis à remonter par l’abrupte sente « des Côtes », avant de pouvoir jouir de l’immense et profond panorama qui, par temps clair, permet d’appréhender  l’étendue et le charme de cette presqu’île parsemée de prairies et de vergers , parfaitement abrités des vents froids , si renommée pour ses  fruits de saison.

De coquettes habitations de pierre blanche, et de grands étangs propices à la pêche et à la baignade furent également découverts où redécouverts par nos randonneurs. Ici le regard porte jusqu’au pont de Brotonne, la sombre forêt du Trait, et les hautes tours d’habitations de Canteleu.

De nouveau, les marcheurs rejoignirent la berge de la Seine au lieu-dit : « les terres rouges » en dévalant par un étroit sentier à travers bois qui, se transformant en large chemin pierreux, dessert la grande « ferme des Marronniers ».

D’une étroite route bordée de pommiers croulant sous le poids des fruits mûrs , quoi de plus naturel en ces lieux ? ?,, les randonneurs rejoignirent le centre d’Yville où un salon de la salle des fêtes accueillit le groupe le temps d’un repas et d’une séance de séchage obligatoire…

Après ce moment de réconfort, toujours sous de violentes averses accompagnées de fortes rafales de vent les marcheurs furent littéralement poussés sur le bac « Du Mesnil » pour une traversée cahotique de notre fleuve aux eaux grises et mouvementées en cette saison. La traversée de la forêt de Jumièges s’effectua le nez baissé, jusqu’au « Val Portier » et le groupe rejoignit les murs d’enceinte de l’abbaye , point de retour de la rando.

Le pot de l’amitié servi à St Wandrille permit à chacun d’évoquer les moments forts de cette humide sortie et de prendre rendez-vous pour le 15 novembre, prochaine rando.  



 « PAUSE au phare d’Ailly»

« Escapade entre Manche et Sâane. »

Ce dimanche 20 septembre 2009, les pêcheurs s’affairaient encore autour de leurs filets , quand les randonneurs de « Marche,Plaisir,découverte » se sont retrouvés sur le brise lames de « Quiberville » pour profiter pleinement de la dernière randonnée de l’été, préparée et commentée par Paule et Philippe.

En surplomb de la plage, les marcheurs se sont dirigés vers le fond des « Patis « pour rejoindre l’ancienne église de Sainte Marguerite sur mer et y admirer le seul autel de style roman de tout le pays de caux.

Par la suite, le groupe monta dans le bois d’Ailly en empruntant l’étroit sentier qui serpente à travers les pins et les châtaigniers jusqu’au phare « d’Ailly » bati de pierres blanches . De là-haut, le panorama sur la découpe des falaises de craie blanche est incomparable et inoubliable.
Au travers de magnifiques parcs, jardins et villas, les randonneurs descendirent dans les deux valleuses de « Vasterival » et remontèrent le cours du ruisseau pour rejoindre le site exceptionnel de l’église de « Varengeville » et son cimetière marin où repose « Braque » le peintre célèbre.

Quelques efforts furent nécessaires pour traverser en montant le bois des « Moutiers »  et retrouver la salle communale aimablement mise à la disposition du groupe pour la pause du midi.

Après un repas frugal tiré du sac à dos, les randonneurs rejoignirent le manoir «d’Ango » villégiature bâtie au XVI ième siècle selon l’art italien de l’époque en plein cœur du pays de Caux.

C’est en suivant maintenant les chemins de campagne abondamment fleuris , où chacun put découvrir les lointains horizons du plateau de Caux , que le groupe atteignit les premières chaumières de « Blancmesnil », descendit par le bois de la « Novale » et rejoignit la vallée de la Sâane.

Les paysages très pittoresques et enchanteurs de ces lieux conduisirent les marcheurs jusqu’à la plage de Quiberville où le pot de l’amitié accompagné de quelques coquillages fut très apprécié de tous.

Rendez-vous fut alors pris pour la prochaine sortie : le Week-end sur le « Paris insolite » les 03 et 04 octobre 2009.


 « pause déjeuner au parc des Aulnes de Lillebonne » 

«AUTOUR DE L’ABBAYE DU VALASSE. »

Les marcheurs de  « Marche, Plaisir, Découverte »  se sont retrouvés le dimanche 6 Septembre à Gruchet le Valasse pour une randonnée de 20 km sur les sentiers qui entourent la magnifique vallée » du commerce », autrefois riche par ses usines de textile, et tout particulièrement la très belle abbaye cistercienne du 12ème siècle du Valasse.

Cette abbaye aux pierres blanches lumineuses sous le soleil haut normand, aujourd’hui réhabilitée en parc de loisirs dédié au développement durable (EANA- terre des possibles), eut un passé très chaotique. Elle  fut tour à tour, filature en 1831, château avec jardin d’hiver en 1848,  dépôt de cavalerie , hôpital vétérinaire, puis  laiterie jusqu’en 1984.

Après une halte à l’église St Thomas BECKET, située sur les hauteurs de Gruchet , pour une lecture plus où moins précise des grafitis  recouvrant les murs extérieurs du chœur, les marcheurs traversèrent le bois » la Frenaye » non sans s’arrêter à « la mare aux loups » où manifestement les animaux de la forêt viennent encore s’abreuver si l’on en croit les traces aux abords.

Le très beau bois de « la grande pièce » accueillit les randonneurs qui furent surpris de rencontrer des « vététistes « en compétition. Il fallut partager le chemin de randonnée , ce qui se fit dans la bonne humeur et en toute sécurité.

La descente vers le  « Becquet » fut la première occasion pour découvrir la blanche abbaye dans son écrin de verdure. Le groupe traversa le « Val Horrible » puis longea la ferme « Bellevue » avant de redescendre via le cimetière en pente de Lillebonne vers « le parc des Aulnes » où les attendait Paule pour un pique-nique au bord des étangs.

Ce moment très convivial fut très apprécié de chacun ,grâce au beau soleil de septembre, mais aussi au cadre très reposant de ce parc idéalement aménagé.

Il fallut reprendre le chemin par la côte assez raide de St Jean de Folleville et redescendre par le bois « de la côte des Forges ». En  longeant la clôture du parc EANA chacun put  voir les arrières de l’abbaye du Valasse.

Avant de remonter vers »Le bas Ruel », les marcheurs firent une petite collation sous les frondaisons , puis par le « chemin de Fécamp », arrivèrent au « clos St Antoine » . La dernière descente s’amorçait vers les abords de Gruchet le Valasse et déjà les véhicules étaient en vue sur le parking du magasin «  Carrefour ».

Le pot de l’amitié attendait les randonneurs chez Chantal et Daniel où chacun se félicita , encore une fois, de la très belle journée passée ensemble. Rendez-vous fut pris pour la prochaine sortie le 20 septembre « dans la région de Varengeville sur mer  ».

 


Le havre
Petit arrêt au lac de la forêt de MONTGEON.

« DECOUVERTE DES ESCALIERS DU HAVRE. »

Les marcheurs de  « Marche, Plaisir, Découverte » débutèrent leur randonnée de ce dimanche 26 juillet 2009
par le prieuré de GRAVILLE, imposante abbaye du XIème siècle pour sa partie nef et transept. Dans les jardins attenants domine la célèbre vierge noire à l’enfant. Cette statue monumentale, dominant l’estuaire de la Seine depuis sa falaise mortes, semble garder sous sa bienveillance l’entrée de  l’estuaire . Elle fut érigée, après la guerre de 1870 contre les Prussiens , en remerciement car Le Havre n’avait pas connu l’invasion prussienne.

Après avoir traversé le cimetière où reposent Jean-Baptiste ERYES et des proches de Victor HUGO : La famille LEFEBVRE, les randonneurs  traversèrent le quartier de Frileuse en sillonnant les rues aux noms d’arbres fruitiers et entrèrent dans le frais bois de MONTGEON.

Ils traversèrent de longues allées ombragées où les chênes dominent. Une halte au lac permit aux marcheurs de s’intéresser aux évolutions de deux maquettes de vieux gréements que des amateurs  modélistes faisaient naviguer. Ces voiliers, où les constructeurs passionnés avaient poussé le détail jusqu’à  y mettre des personnages manœuvriers, semblaient plus vrais que nature.

Le groupe sortit de la fraîcheur du bois par la porte des paons  pour se diriger vers l’arrière du cimetière Ste Marie puis vers le fort de Tourneville, (aujourd’hui reconvertit en bureaux et autres salles de réunion) , où séjourna le régiment du 329ème R.I.

 Les randonneurs, après avoir traversé Sanvic et passé devant l’église St Denis, gagnèrent l’aire de pique-nique du « chapeau de Napoléon ». De là, chacun put prendre quelques photos du très beau panorama qui s’ouvrait sur le port du Havre, la plage et les quartiers reconstruits par Auguste Perret.
Un repas réparateur et convivial permit aux marcheurs de repartir pour attaquer cet après-midi consacré à la découverte des « escaliers du Havre ».

Une promenade digestive dans l’ancien fort de Ste Adresse  fut très appréciée car la découverte des magnifiques serres aux plantes exotiques, et bien sûr les jardins qui sont un vrai « Havre de paix » , (sans jeu de mots) contribua à l’excellence de cette journée qui se voulait exclusivement havraise.

Une descente en bordure de la plage fit prendre un bon bol d’air marin aux marcheurs qui se frayèrent un chemin entre les flâneurs dominicaux.

Les premiers escaliers gravis furent ceux qui doublent le funiculaire, à l’arrêt en ce dimanche. En haut, sur la rue Félix Faure, un panorama très large s’ouvrait entre le pont de Normandie et l’extrême pointe du port du Havre.

Les escaliers Lechibier, cette fois-ci descendus, permirent aux marcheurs de souffler un peu et de découvrir de petites impasses fleuries s’ouvrant sur  pavillons  et petits jardins suspendus à la colline. Arrivés place du rond point, et après un coup d’œil à l’ancien hôtel du cheval bai, Q.G. des FFI lors de la libération, les randonneurs gravirent la rue de la cité havraise non sans faire une halte pour admirer les soixante-douze maisons aux couleurs chatoyantes construites dans les années 1860 selon un modèle économique  très original et vendues avec paiements en petites mensualités par la suite.

Bientôt c’était le long escalier de la rue de l’EPARGNE qu’il fallait gravir, avec un peu plus de difficultés, et les marches de l’ancien tapis roulant du quartier MONTMORENCY que chacun descendit en se demandant si nous avions encore beaucoup de marches à gravir dans ce parcours organisé par Daniel.

Les marcheurs rejoignant le prieuré de Graville par la rue Picasso , et les escaliers de l’abbaye , retrouvèrent la fraîcheur des jardins , point final de leur journée havraise.

Le pot de l’amitié pris chez Philippe à Gainneville permit à chacun de donner ses commentaires sur la randonnée du jour, et pour certains de se souhaiter de bonnes vacances.


cormeilles
« Visite de CORMEILLES. » 

« RANDO EN PAYS LIEUVIN. »

Malgré la saison estivale, ce ne fut pas moins de dix sept randonneurs qui se regroupèrent à CORMEILLES
le 12 juillet 2009 pour découvrir le charme de ce  village situé dans la vallée de « la Calonne » autrefois traversé par la voie romaine qui reliait « LILLEBONNE » à « LISIEUX.

Le début de la matinée fut consacré à la visite d’une distillerie fabriquant  le célèbre alcool normand :
le CALVADOS. Chacun put , grâce à un excellent guide, saisir chaque étape du lent processus qui transforme la pomme en nectar ambré que l’on met à vieillir dans des fûts de chêne parfois centenaires.

Après cette passionnante découverte et une agréable mais très sage dégustation, les marcheurs de  « Marche, Plaisir, Découverte »  quittèrent ce lieu enchanteur en suivant le cours de la « Calonne » qui les mena jusqu’au cœur de Cormeilles. Tout au long du cours d’eau, chacun put découvrir le charme de ses maisons à colombages , en particulier l’ancien relais de diligences flanqué d’une remarquable galerie qui dessert les logis de l’étage.

Par les marches du mont Mirel, les randonneurs accédèrent à l’église Sainte Croix du XIème siècle qui domine la cité. Cette église, à la nef s’élevant en pente vers son cœur, est, par cette particularité, unique dans toute la Normandie. Les orgues qui se trouvent au dessus du portail d’entrée sont , par cette déclivité de 9 % , au même niveau que l’autel principal.

Dans un cadre bucolique , au pied du lavoir de Saint Siméon, les marcheurs ouvrirent leur sac et reprirent des forces pour engager  l’après-midi une marche de 12 km avec le franchissement de 4 gués. Tout au long du parcours au dénivelé parfois impressionnant, ce ne fut qu’une permanente découverte de sources, fontaines, et bocages avec haies traditionnelles de houx. Empruntant des chemins creux qui suivaient et traversaient la rivière Sébec , les marcheurs purent apprécier depuis le plateau Lieuvin de longs panoramas sur de profondes vallées verdoyantes et ensoleillées.

Le pot de l’amitié servi près de la source du ruisseau permit aux randonneurs ravis de leur journée de se remémorer les points forts de la journée et chacun promit de revenir en ces lieux enchanteurs la saison prochaine.


yport
« Avant la descente sur Yport. »

« Sur le chemin des Ramendeuses. »

En ce jour de fête des Père, Philippe l’organisateur de la journée a emmené le groupe de randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » sur le chemin des Ramendeuses. Ces femmes , par les chemins en tous temps, se rendaient à  Fécamp pour travailler à la remise en état des filets de pêche. On dit qu’elles tricotaient tout en marchant et, bien sûr, tout en parlant des dernières nouvelles des villages avoisinants.

Le groupe partit de Bénouville , village célèbre dans tout le pays de  Caux pour sa « Valleuse du curé » aux escaliers taillés dans l’épaisseur de la falaise . Ce passage pas ordinaire creusé par ce curé permettait au pêcheurs, par le passé, de descendre sans risque jusqu’à leurs embarcations  pour la pêche côtière.

Les randonneurs prirent le sentier de bord de falaise et  purent admirer l’aiguille de BELVAL , pierre monolithique blanche comme piquée dans l’océan par un géant. Ils passèrent devant la fontaine aux mousses puis traversèrent la valleuse du Curé, première difficulté de la journée. C’est aux abords des fonds « d’Etigue » qu’ils aperçurent plusieurs vieux gréements  aux voiles de couleur cachou ou grenat qui venaient sûrement de la fête de la mer de Fécamp.

Le chemin côtier est  très agréable en cette saison car couvert de fleurs sauvages multicolores et bordé de champs de lin aux ondulations d’un bleu vif lumineux.

Les marcheurs passèrent au plus près de la roche aux Anglais  où des anciens Blockhaus, vestiges de la dernière guerre, subsistent encore. La valleuse de Vaucottes fut traversée d’un pas léger, et la remontée un peu plus lente permit de découvrir , en se retournant, l’enfilade des falaises de craie blanche jusqu’à Etretat. Sous un soleil éclatant et une mer émeraude, que ce paysage de la côte d’opale était magnifique !..
Les randonneurs descendirent vers Yport et sa plage où les attendait Paule. Deux marcheurs téméraires piquèrent une tête dans une eau vivifiante avoisinant les 14 degrés. Le repas tiré du sac fut le bienvenu.

Les marcheurs, bien requinqués , reprirent le chemin des Ramendeuses en traversant Yport, non sans avoir visité sa belle église qui fut construite durant une année entière au 19ème siècle par toute la population de la ville.

Yport conserve encore ses demeures de pêcheurs en briques rouges qui sont joliments agrémentées en cette saison de jardinières qui fleurissent leurs balcons.

En cet après-midi très chaud, les randonneurs apprécièrent l’ombrage que leur procura le bois des Hogues. Ils traversèrent Vattetot sur mer puis à travers champs revinrent un peu fatigués mais heureux de leur journée vers l’église de Bénouville, leur point de départ.

Le pot de l’amitié pris à St Wandrille leur permit de discuter des points forts  de la journée et de revoir les photos des sorties antérieures insérées dans le « presse-book » .


Eavy
«Halte devant le hêtre de» RUDI » de 228 ans d’âge. 

«Découverte de la forêt d’EAWY ! ».

En ce jour de fête des mères (dimanche 07 juin 2009), c’est un petit groupe de neuf randonneurs qui sont partis à la découverte de la magnifique forêt d’EAWY. Malgré un temps maussade, les marcheurs de « Marche, Plaisir, Découverte » qui s’étaient donnés rendez-vous devant la mairie de St Saëns ,célèbre par son moine fondateur, s’engagèrent  dans cette forêt de 6550 hectares , déjà exploitée au moyen âge, par le lieu dit LE TEURTRE.
Au cours de leur marche, Ils s’arrêtèrent au « puits merveilleux » , gouffre de 26 mètres de profondeur créé par
les eaux de ruissellement puis longeant « le camp souverain », ils découvrirent au fur et à mesure de leur avancement sur « le chemin des écoliers » pas moins de 34 espèces d’arbres classés.  
Après avoir traversé « Ventes st  Rémy, les marcheurs s’installèrent pour un pique-nique ensoleillé près « du jardin du roi » (arboretum  de hêtres réalisée en 1811 pour célébrer la naissance du fils de Napoléon premier et  Marie-Louise d’Autriche).
Après un repas frugal mais réparateur, les randonneurs reprirent les chemins ombragés , où perçaient quelques puits de lumière,  à la rencontre du plus vieux hêtre de  cette forêt d’EAWY qui est âgé de 228 ans .
Très spectaculaire et bien vert en cette saison, ce vieux « monsieur RUDI » suscita le respect de chacun et mérita bien une photo.
Après une courte halte à la chapelle St Etienne ancien lieu de pèlerinage reconstruite au 19 ième siècle, les marcheur traversèrent « ROSAY » gentille petite ville célèbre pour son musée de la pomme et du cidre.
Ils traversèrent la « Varenne » tumultueux cours d’eau déjà rencontrée lors d’une précédente randonnée, et remontèrent sur le plateau au « trou crochu » où  les surprit l’orage et ses trombes d’eau.
Le nez baissé, il rejoignirent St Saëns par le GR de pays.
Trempés, mais heureux de leur journée, les marcheurs rentrèrent sur St Wandrille un peu fatigués après 26 km parcourus.

 


val de saire
au phare de Gatteville

«COTENTIN SAUVAGE ET AUTHENTIQUE ! ».

30 et 31 mai 2009.

Profitant  d’un long Week-end de Pentecôte très ensoleillé, les marcheurs de « Marche, Plaisir, Découverte » , pour leur grande sortie de printemps se sont retrouvés pas moins d’une trentaine  pour partir à la découverte des chemins creux et ombragés du Cotentin , des charmes du Val de SAIRE où la mer toujours omniprésente est encore seule à décider des paysages qu’elle modèle.
Chaleureusement accueillis par leurs hôtes religieuses pour l’hébergement du W.E., les randonneurs ont été immédiatement conquis par ce lieu de séjour calme et très original.
Après le souper servi à la table d’hôte, l’air marin de COSQUEVILLE donna des envies de voir au plus près la mer sous les couleurs rouges du soleil couchant. Le groupe, armé des appareils photographiques , attendit en vain de voir le fameux « rayon vert » si célèbre.
Tôt le matin, en possession de la fiche topographique, chaque randonneur prit connaissance du parcours, soit vingt-trois kilomètres.
En empruntant l’un des chemins creux sillonnants la presqu’île, bordés de petits clos où la roche affleure, les marcheurs purent traverser les petits hameaux , dont les basses demeures en granite abondamment fleuries, en font tout le charme.
Dans le sens du courant du « Poult », les marcheurs  accédèrent à l’étroite vallée des moulins, reconnue comme site paradisiaque où prospère une végétation luxuriante protégée par un micro climat . Ici, comme tous les chemins mènent à la mer, le groupe se rassembla sur la plage de « la Mondrée » pour goutter « la belle Fermanvillaise », l’huître de pleine mer au goût sauvage très apprécié.
Dès lors, le parcours suivant « la laisse de mer «  par le mythique sentier des douaniers amena les randonneurs à l’ancien fort du cap Levi d’où ils purent observer le large panorama ouvert sur la rade de Cherbourg.
De nouveau par le littoral, ils suivirent le mince cordon dunaire qui sépare l’océan des marais pour rejoindre Cosqueville en fin de journée. Un savoureux  souper les attendait cette fois servi au restaurant…
Le jour suivant, toujours du bon pied, les marcheurs  quittèrent l’anse de ROUBARY pour rejoindre l’imposant phare de Gatteville, qui , de ses 75 mètres, balaie de ses rayons lumineux bien au delà de la baie de Seine.
De nouveau en suivant le sentier côtier, Les randonneurs dépassèrent l’ancien moulin de « CRADEC » autrefois blanchi pour servir  d’amer  à la navigation.
A quelques encablures de là, le clocher remarquable du charmant port de Barfleur invita les marcheurs à la visite de l’église, mais aussi à la rencontre de la flottille de pêche qui partait récolter « la blonde de Barfleur ».
Sur le chemin du retour plus orienté vers les terres, les randonneurs longèrent les étroites et profondes tranchées qui relient les anciennes fortifications du mur de l’atlantique , vestiges de la seconde guerre mondiale .
C’est dans le petit port de « Roubary » que le pique-nique fut pris face aux frêles embarcations multicolores qui dansaient au gré de la brise.
Chacun remercia chaleureusement « Paule » pour son excellent service de logistique qui contribua aux plaisirs de ce très beau W.End.
Avant de se retrouver dans les traditionnels embouteillages sur la route du retour, le rendez- vous fut pris pour la prochaine sortie .

 


Gyverny

«ESCAPADE A GIVERNY ! ».

C’est à GIVERNY et plus précisément devant la maison du peintre, père de l’impressionnisme, Claude Monet qu’une trentaine de randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte », s’étaient donnés rendez-vous dimanche 17 mai 2009 . La journée débuta par une promenade « flânerie » à la rencontre des jardins conçus et organisés par le peintre où chacun eut le bonheur de retrouver ça et là des éléments des toiles de Monet. En cette saison, les couleurs se mélangent comme sous le pinceau du maître et ce jardin « inspiré » dégage une certaine quiétude si chère au peintre.
Les marcheurs se dirigèrent, alors, vers le jardin d’eau japonisant et exotique, écrin de nature où le fameux étang aux nénuphars les attendaient comme figés et immortalisés dans la grande toile si célèbre.
Déjà , une foule plus grande se pressait vers la maison aux volets verts, et les randonneurs prirent la queue pour entrer dans le hall et découvrir, de pièce en pièce, l’endroit où vivait le peintre toujours inspiré par la belle nature qui l’entourait. A chaque encoignure de porte, on s’attendait à rencontrer l’artiste , dans la cuisine bleue , où la salle à manger jaune, où dans l’atelier, en train d’accrocher une toile au mur.
Au sortir du musée Claude Monet, il était l’heure de déjeuner, et malgré quelques gouttes de pluie, chacun reprit des forces, installé dans l’herbe verdoyante, pour une marche de 10 km l’après – midi .
Le groupe traversa le quartier du « Pressoir », et s’engagea sur le GR2 ,qui serpentait d’une manière abrupte au flanc de la falaise, et qui permit de découvrir la très verdoyante vallée de l’Epte en contre bas.
Les marcheurs traversèrent le beau et reposant « bois du gros chêne » et après avoir quitté » la Roquette »ils bifurquèrent par un sentier qui longeait les cultures de colza d’un jaune éclatant au départ du lieu dit « le coudray ». Ils  passèrent tout près de « la mare de Giverny » et retrouvèrent le GR2 au « bois de la Garenne » qui leur fit descendre la falaise vers le « bout de Giverny ».
Après un passage obligé par le cimetière où repose Claude Monet et toute sa famille, et un petit coup d’œil à la petite église en rénovation , les randonneurs traversèrent le village. Ils purent admirer les très belles demeures anciennes et l’hôtel « Baudry » transformé en musée, avant de rejoindre leur véhicule.
Très contents de cette belle journée qui se clôturait par un après-midi ensoleillé, les randonneurs de St Wandrille se promirent de revenir au pays de l’impressionnisme et de MONET.

 


  «ALLONS VOIR LA MER ! ».

« Allons voir la mer ! » tel était l’objectif des randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » ce dimanche 5 avril 2009. Un groupe d’une quinzaine d’adhérents prit donc le chemin de la mer en empruntant la très belle vallée du DUN depuis « la Gaillarde ». Ils traversèrent les plaines qui jouxtent la rive droite du Dun et firent une halte pour visiter « Le Bourg Dun » , ville typique cauchoise . L’église , ancienne abbatiale détruite par les invasions normandes et reconstruite par les abbés de St Quentin méritait une visite approfondie et quelques photos souvenirs.
Les marcheurs reprirent le chemin du GR212B pour arriver à « Flainville ». Là ils purent apprécier et découvrir le très beau manoir et son pigeonnier à pans de bois et à quelque distance la chapelle St Julien à l’allure de château fort. Ils gravirent la côte de « Flainville » par le GR21 et empruntèrent une ancienne route revêtue de ciment qui fut construite durant la dernière guerre et servait aux allemands pour rejoindre une base de lancement des célèbres « V1 ».
Arrivés sur la falaise, les randonneurs découvrirent « St Aubin-sur-mer » sous un soleil éclatant , où le bord de plage les attendait pour le déjeuner tiré du sac.
Bien réconfortés et chauffés par le soleil très présent en ce jour, les randonneurs reprirent la route qui les mena à « Englesqueville ». Ils longèrent cette fois- ci la rive gauche du Dun tumultueux en cette saison, et traversèrent « Le bourg-Dun » de nouveau.
 Le GR212B les mena à  «  St Pierre-le-vieux » où ils prirent le temps d’admirer le très beau château du 16/17ième siècle.
Le chemin vers « La Gaillarde » fut l’occasion de découvrir des fermes aux bâtiments à pans de bois disposés
en cours fermées avec leur pigeonnier au centre. Cela montre toute la richesse de cette vallée du DUN.
« La Gaillarde » était reliée et l’heure s’avançait quand les marcheurs très contents de leur journée reprirent le chemin de « St Wandrille »   où les attendait le pot de l’amitié.

le Dun

«Halte au château de St Pierre- le- vieux .»


« Rando. mystère à Mortemer ».
Dimanche 15 mars, quand la brume monte encore des étangs du «  Fouillebroc » , les randonneurs de  « Marche, Plaisir, Découverte » purent franchir le porche de cet ancien domaine abbatial qui, par le passé, régnait sur le monde occidental et pouvait vivre en complète autarcie.
Le colombier, toujours debout, donnait les pigeons, le vivier, les lamproies et les perches tandis que la vigne pas encore détrônée par les pommiers offrait le vin de table et de messe.
Une matinée à peine suffit aux marcheurs pour effectuer une visite très détaillée de ce remarquable site chargé d’histoire et de troublantes légendes et pour profiter pleinement de ce cadre bucolique niché dans un vallon protégé de toute habitation.
Le soleil n’avait pas encore atteint son zénith lorsque les randonneurs ouvrirent les sacs sur les banquettes du petit train habituellement réservé aux touristes. Le repas fut pris dans la bonne humeur tout près des étangs où des bernaches au vol lourd et puissant semblaient garder la propriété.
Quittant un peu avec regret ce lieu enchanteur, le groupe traversa sous un soleil radieux de splendides hêtraies pour rejoindre les rives déjà fleuries de la « Lieure » De nombreux moulins et une fabrique de sabots restent maintenant les seuls témoins de la richesse de cette vallée. Les marcheurs arrivèrent à « Lyons la Forêt »  par le quartier « du bout de bas ». Cet attachant bourg, avec ses maisons à colombages, sa vieille halle et ses cossus hôtels particuliers servirent à plusieurs reprises de décors pour des adaptations cinématographiques de « Madame Bovary ».
De nouveau, il fallut retraverser la forêt, mais, cette fois par des chemins marécageux rappelant des lieux de légendes.
Les randonneurs enthousiasmés par cette originale randonnée furent très surpris de lire au podomètre 15 km avalés le temps d’une courte après-midi.

Peut-être que les esprits malins de « Mortemer » y étaient pour quelque chose ?….

« Visite à l’abbaye de Mortemer .»


« En remontant sur AIZIER ». le 15 février 2009
Malgré la persistance d’un froid très vif, une vingtaine de randonneurs de « Marche, Plaisir, Découverte » ont répondu à l’invitation du club pour découvrir ou redécouvrir les paysages offerts par le méandre de la Seine le plus pittoresque : celui d’ Aizier.

Tôt dans la matinée, quand la brume enserre encore le fleuve, les marcheurs ont quitté la cale d’Azier pour un parcours en boucle d’une vingtaine de kilomètres traversant plaines, forêts et vallons. Remontant par l’étroite sente qui mène à l’église , le groupe tomba sous le charme de ce petit sanctuaire de pur style roman avec son clocher tout en pierre, fait rarissime dans la région. Au coin du mur du petit cimetière , une pierre monolithique datant certainement de l’âge de bronze, est fichée en terre. Cette pierre percée d’un trou en son centre est appelée : « Dalle à trou-d’homme ». Sa présence en ce lieu rappelle que ce site a été habité depuis fort longtemps.

En remontant à travers les bois de « Fécamp » les randonneurs ont rencontré les murailles d’une ancienne chapelle en ruine dédiée à Saint Thomas de Canterbury dès le XIIième siècle. Peut-être les religieux de Fécamp qui en avaient le patronage l’avaient-ils fondées pour les lépreux de leur baronnie d’Aizier ?.

En effet, tout proche de là, subsistent les vestiges d’une léproserie et en son centre une mare, aujourd’hui gelée, dallée de silex par les gallo-romains. L’eau de cette mare avait des pouvoirs de guérison sur les fièvres malignes , comme « la surette », très fréquentes dans les marécages du bord de Seine.

Au camp « caillou » situé sur le plateau du Rouemois, les marcheurs se sont orientés vers le hameau de « Vaucorne » pour traverser d’un pas soutenu le « val Anger » afin de rejoindre « Trouville la Haule ».
C’est là qu’une salle chauffée les accueillait pour le repas tiré du sac qui fut pris dans une ambiance des plus conviviale. Il restait encore quatorze kilomètres a couvrir avant le coucher du soleil, alors il ne fallut pas traîner…
Cette section du parcours très agréable ne fut qu’une succession d’étroites routes de campagne bordées de houx ou de charmes et des chemins forestiers tapissés de mousses  bien agréables et confortables aux pieds.

Les randonneurs descendirent par le caillouteux et abrupt chemin du «  val de la haye » qui laisse entrevoir au loin les blanches falaises de Villequier. Au bout du sentier, la terre s’arrête, le fleuve est là , avec ses eaux aussi brillantes que des bris de verre, déroulant un de ses méandres où sont comme enchâssés Vieux port et Aizier .
Il a suffit aux marcheurs de se pencher au bord de la falaise pour savoir, en regardant les espaces vaseux exhalant   une odeur saumâtre, que la mer était en marée basse. Ici tout évoque le grand large, même le courant d’air qui, remontant le flot du fleuve , fait ployer brutalement la végétation des berges.
Le passage des grands navires, l’air du grand large et la présence du vieux phare du « Courval » donnèrent aux randonneurs le goût « du pied marin « en pleine forêt.
Entre « Vieux-port » et « Aizier » , le sentier s’éloignant du fleuve fit passer les marcheurs plus près des toits des nombreuses chaumières toutes coiffées d’iris.
De nouveau revenu à Aizier, le groupe s’en fut prendre le pot de l’amitié à St Wandrille et se fixa rendez-vous pour la prochaine marche qui le mènera aux sources de la Saâne  à la découverte du charme de la Fontenaye.

aizier
L'ancienne léproserie de St Thomas de Canterbury


« La Haye de Routot et ses Ifs légendaires ». le 25 janvier 2009
C’est devant les Ifs datant du 5ème siècle de la Haye de Routot que les adhérents de « Marche, Plaisir, Découverte » se sont retrouvés ce dimanche 25 janvier 2009 pour une randonnée d’environ 18 km.
Après avoir enfilé les cirés et chaussé les brodequins de marche, les randonneurs visitèrent les deux magnifiques Ifs légendaires , percés de très belles chapelles dédiées à la vierge, qui montent la garde devant l’église.
Puis, le groupe prit la direction de la mare Godart, traversa les hameaux du Bourdonné et de Bellemare et entrèrent en forêt Brotonne en empruntant le GR 23.
Les marcheurs purent voir une mère sanglier et ses petits , tapis dans les fougères qui s’enfuirent à leur approche.
Ce fut la traversée du chemin forestier des « Caves «  qui amena les marcheurs à la maison forestière « de la petite Houssaye ». Il était alors pas loin de midi, et les randonneurs pressèrent le pas vers le centre du village.
Le casse-croûte fut pris dans une salle chauffée du café des IFS où chacun put se réchauffer et reprendre des forces.
Le groupe repartit de bonne humeur, malgré un temps maussade, vers le très beau manoir de Fréville, puis rentra de nouveau en forêt Brotonne.
Les chemins tantôt étroits en forme de cavée, tantôt larges mais très boueux s’offraient aux pas assurés des randonneurs. Après avoir emprunté le chemin de la rue Gosse, puis celui de la Fosse Dame, les marcheurs découvrirent en fond de vallon le calvaire marqué de l’inscription  « ECCE HOMO ».
Encore un petit effort, et les marcheurs relièrent le parking de la maison du sabotier point de chute de la balade.
Le pot de l’amitié les attendait à Saint Wandrille où chacun se félicita de cette belle journée passée ensemble.

La haye de routout
les ifs de la Haye de Routot

 

 
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Tarif : adhésion : 6€ et rando. 3€. (enfant moins 12 ans : gratuit)
S’inscrire le plus rapidement possible auprès de :
PH. BOULLIER tél : 02.35.96.08.40, ou D. JOURDAIN tél : 02.35.38.19.09,
ou J.M. RAULIN tél : 02.32.83.38.67 ou 06.61.68.98.12

 

Après la randonnée, chaque marcheur se retrouve dans une salle communale à St WANDRILLE RANÇON pour tirer les conclusions de la journée passée ensemble, donner ses suggestions éventuelles et revoir les photos prises lors de la ballade ou des ballades précédentes.
Un pot de l’amitié lui est offert par « MARCHE, PLAISIR et DECOUVERTE » pour clôturer la journée dans une ambiance qui se veut joyeuse.

Nous demandons aux personnes désirant participer aux randonnées préfixées de bien vouloir s’inscrire au moins 8 jours avant la date de la randonnée auprès des responsables dont les coordonnées suivent, ceci pour le bon déroulement de la randonnée.

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RD-16/01/2010